Les paroles de la chanson
« Il y a des moments si merveilleux »
Gilbert Bécaud
Il y a des moments si merveilleux
Qu’on voudrait que le temps s’arrête
Et que les horloges de sept lieues
Se taisent un peu, se taisent un peu
On cherche, cherche émerveillé
La petite fleur de l’impossible
Sitôt que tu l’as dans la main
Elle est fanée, le lendemain
Il y a des soirs si malheureux
Qu’on voudrait que le temps éclate
Où l’on fait semblant d’être deux
Dans l’illusion d’un coin de bleu
Éteins les mille chandeliers
Tu restes seul sous les étoiles
Ton téléphone est sourd-muet
Ton petit théâtre est fermé
Il y a des matins si fabuleux
Qu’ils ressemblent aux cathédrales
Tout est si beau, tout est si mieux
Que l’on voudrait mourir un peu
Alors voici que dans ta main
La petite fleur de l’impossible
Se met à renaître soudain
Il y a de fabuleux matins
Il y a des moments d’arcs-en-ciel
Où l’univers stoppe sa course
Une simple nuit de Noël
Te met des larmes à fleur de ciel
Et tu te demandes pourquoi
Cette nuit-là te démesure
Va ne cherche pas plus longtemps
L’homme ne reste qu’un enfant
Un enfant, un enfant, un enfant, un enfant,
un enfant, un enfant, un enfant...
Qu’on voudrait que le temps s’arrête
Et que les horloges de sept lieues
Se taisent un peu, se taisent un peu
On cherche, cherche émerveillé
La petite fleur de l’impossible
Sitôt que tu l’as dans la main
Elle est fanée, le lendemain
Il y a des soirs si malheureux
Qu’on voudrait que le temps éclate
Où l’on fait semblant d’être deux
Dans l’illusion d’un coin de bleu
Éteins les mille chandeliers
Tu restes seul sous les étoiles
Ton téléphone est sourd-muet
Ton petit théâtre est fermé
Il y a des matins si fabuleux
Qu’ils ressemblent aux cathédrales
Tout est si beau, tout est si mieux
Que l’on voudrait mourir un peu
Alors voici que dans ta main
La petite fleur de l’impossible
Se met à renaître soudain
Il y a de fabuleux matins
Il y a des moments d’arcs-en-ciel
Où l’univers stoppe sa course
Une simple nuit de Noël
Te met des larmes à fleur de ciel
Et tu te demandes pourquoi
Cette nuit-là te démesure
Va ne cherche pas plus longtemps
L’homme ne reste qu’un enfant
Un enfant, un enfant, un enfant, un enfant,
un enfant, un enfant, un enfant...