Les paroles de la chanson
« Il neige au fond de mon âme »
Frederik Mey
Il neige au fond de mon âme
Il brume dans mon univers
Ce soir vacille la flamme
De mes espoirs, et en moi c’est l’hiver
Vous, mes amis, ne dormez pas encore
Ne me laissez pas tout seul ce soir
Que la tristesse qui s’instaure
Ne nous soit qu’un prétexte à boire.
Buvons! Chantons! veillons ensemble
Gueulons! Que nos voix et nos voix
Résonnent et que les murs en tremblent,
Et que se couvre le silence en moi.
Il neige au fond de mon âme...
A ceux qui m’ont aimé et me renient!
Tant de mensonges et trop de bruits
Ont semé le doute et l’envie
Et l’orgueil nous a désunis.
Et à ceux qui de leur mémoire
M’ont rayé en me condamnant,
J’aimerais qu’ils puissent croire
Que je n’ai pu agir autrement.
Il neige au fond de mon âme.
Buvons à ceux absents à notre table
Et dont nous ignorons le sort!
Que le vent leur soit favorable
Et qu’il les ramène à bon port.
A nous! Que ce toit nous abrite
Dans la paix et la liberté.
Que ceux d’entre nous qui le quittent
S’en souviennent sans rancœur, ni regrets.
Et une brise printanière
Fond la neige dans mes pensées.
Buvons jusqu’à l’aube mes frères!
Et alors ivre je m’endormirai.
Il brume dans mon univers
Ce soir vacille la flamme
De mes espoirs, et en moi c’est l’hiver
Vous, mes amis, ne dormez pas encore
Ne me laissez pas tout seul ce soir
Que la tristesse qui s’instaure
Ne nous soit qu’un prétexte à boire.
Buvons! Chantons! veillons ensemble
Gueulons! Que nos voix et nos voix
Résonnent et que les murs en tremblent,
Et que se couvre le silence en moi.
Il neige au fond de mon âme...
A ceux qui m’ont aimé et me renient!
Tant de mensonges et trop de bruits
Ont semé le doute et l’envie
Et l’orgueil nous a désunis.
Et à ceux qui de leur mémoire
M’ont rayé en me condamnant,
J’aimerais qu’ils puissent croire
Que je n’ai pu agir autrement.
Il neige au fond de mon âme.
Buvons à ceux absents à notre table
Et dont nous ignorons le sort!
Que le vent leur soit favorable
Et qu’il les ramène à bon port.
A nous! Que ce toit nous abrite
Dans la paix et la liberté.
Que ceux d’entre nous qui le quittent
S’en souviennent sans rancœur, ni regrets.
Et une brise printanière
Fond la neige dans mes pensées.
Buvons jusqu’à l’aube mes frères!
Et alors ivre je m’endormirai.