Les paroles de la chanson
« Il n'y a plus de maison à forillon »
Michel Loiselle
Il n’y a plus de maisons à Forillon
Julie Baillargeon & Michel Loiselle
Qu’il est beau ce paysage
Il en a fait des voyages
A cheval sur des cartes postales
Il n’y a plus de maisons à Forillon
Pour adoucir son image
On a effacé les villages
Un scandale immémorial
Il n’y a plus de maisons à Forillon
Si vous ouvrez les yeux au-delà des splendeurs
Verrez-vous les épaves des demeures?
Verrez-vous sur la grave les foulées des pêcheurs
Des pêcheurs déportés sans pudeurs
Les cendres encore tièdes sur le rivage
Incarnent le prix de l’héritage
Des vandales sous mandat national
Il n’y a plus de maisons à Forillon
Si vous ouvrez les yeux au-delà des splendeurs
Verrez-vous les épaves des demeures
Verrez-vous sur la grave les foulées des pêcheurs
Des pêcheurs déportés sans pudeurs
Il y aurait dans les parages
D’après certains commérages
Le fantôme tricennal d’un pêcheur qui a mal
IL n’a plus sa maison à Forillon
Étranger sur sa terre
Celle de son grand-père
Il pleure et il pleure et il erre
Dans le vent de la mer
Sa complainte se perd
Il n’y a plus de maisons à Forillon
Julie Baillargeon & Michel Loiselle
Qu’il est beau ce paysage
Il en a fait des voyages
A cheval sur des cartes postales
Il n’y a plus de maisons à Forillon
Pour adoucir son image
On a effacé les villages
Un scandale immémorial
Il n’y a plus de maisons à Forillon
Si vous ouvrez les yeux au-delà des splendeurs
Verrez-vous les épaves des demeures?
Verrez-vous sur la grave les foulées des pêcheurs
Des pêcheurs déportés sans pudeurs
Les cendres encore tièdes sur le rivage
Incarnent le prix de l’héritage
Des vandales sous mandat national
Il n’y a plus de maisons à Forillon
Si vous ouvrez les yeux au-delà des splendeurs
Verrez-vous les épaves des demeures
Verrez-vous sur la grave les foulées des pêcheurs
Des pêcheurs déportés sans pudeurs
Il y aurait dans les parages
D’après certains commérages
Le fantôme tricennal d’un pêcheur qui a mal
IL n’a plus sa maison à Forillon
Étranger sur sa terre
Celle de son grand-père
Il pleure et il pleure et il erre
Dans le vent de la mer
Sa complainte se perd
Il n’y a plus de maisons à Forillon