Les paroles de la chanson
« Il n'y a jamais de hasard »
Marie-Paule Belle
Il n’y a jamais de hasard
Même si c’était un peu tard
Tu es entré dans ma maison
Je t’ai reconnu, un soir
Au fond de la lune noire
J’ai reconnu nos émotions
Il n’y avait plus qu’à y croire
Je t’ai invité à boire
Un philtre d’amour, de passion
J’ai senti monter l’espoir
J’avais du mal à pouvoir
Tenir la conversation
Je nous voyais dans le noir
Pour le plus doux des abandons
C’était comme une évidence
Ce moment trouble et intense
Juste au bord de la perfection
Ne pas freiner l’attirance
Qui m’envahit et je pense
"Pourquoi cette fascination?
Ce goût de la défaillance
Serait-ce une renaissance?"
Je me perds dans trop de questions
Je parlais en abondance
De tout, de rien, dans un sens
Je voulais faire diversion
Pour alléger tes défenses
Tout pour alléger nos tensions
Je sentais flotter dans l’air
Un parfum lourd et pervers
J’attendais une conclusion
Le besoin d’être sincère
D’aller tout doucement vers
La vérité sans traduction
Alors, tu as bu ton verre
D’un trait, tu as découvert
Le feu de la situation
Y avait une autre lumière
Dans tes yeux, du bleu, du vert
À en perdre la raison
Et c’est ce qu’on a su faire
Point d’orgue sur la partition
Il n’y a jamais de hasard
Même si c’était un peu tard
Tu es entré dans ma maison
Je t’ai reconnu, un soir
Au fond de la lune noire
J’ai reconnu nos émotions
Il n’y avait plus qu’à y croire
Je t’ai invité à boire
Un philtre d’amour, de passion
J’ai senti monter l’espoir
J’avais du mal à pouvoir
Tenir la conversation
Je nous voyais dans le noir
Pour le plus doux des abandons
C’était comme une évidence
Ce moment trouble et intense
Juste au bord de la perfection
Ne pas freiner l’attirance
Qui m’envahit et je pense
"Pourquoi cette fascination?
Ce goût de la défaillance
Serait-ce une renaissance?"
Je me perds dans trop de questions
Je parlais en abondance
De tout, de rien, dans un sens
Je voulais faire diversion
Pour alléger tes défenses
Tout pour alléger nos tensions
Je sentais flotter dans l’air
Un parfum lourd et pervers
J’attendais une conclusion
Le besoin d’être sincère
D’aller tout doucement vers
La vérité sans traduction
Alors, tu as bu ton verre
D’un trait, tu as découvert
Le feu de la situation
Y avait une autre lumière
Dans tes yeux, du bleu, du vert
À en perdre la raison
Et c’est ce qu’on a su faire
Point d’orgue sur la partition
Il n’y a jamais de hasard