Les paroles de la chanson
« Il faut du temps »
Dalida
Il faut du temps, pour oublier
Tous les anciens visages
Il faut du temps, pour arriver
Tout au bout du voyage
Il faut du temps, pour arrêter
Le manège aux images
Il faut du temps, pour s’en aller
Vers d’autres beaux rivages
Le temps m’a enlevé ta vie
Comme le sable dans mes doigts
Le vent a effacé mes pas
Voilà que le ciel devient gris
Que les jours deviennent plus courts
Dès que je pense à mes amours
Comme l’on peut avoir l’air bête
Immobile comme un poète
Devant une page toute blanche
Toute blanche
Il faut du temps, pour espérer
Être encore amoureuse
Il faut du temps, pour s’habituer
A être encore heureuse
Il faut du temps, pour ne plus voir
Chaque nuit ton sourire
Il faut du temps, pour ne plus croire
Que je peux en mourir
Comme une fleur dans un grand livre
Ma vie se fane mais reste belle
J’entends d’autres voix qui m’appellent
J’ai encore des amours à vivre
Car il me reste bien des pleurs
Pour affronter d’autres malheurs
Avec le jour qui va renaître
Je sens monter comme un bien-être
Comme si c’était un beau dimanche
Un beau dimanche
Il faut du temps, pour oublier
De pleurer sur soi-même
Il faut du temps, pour s’habituer
A redire
Je t’aime... je t’aime... je t’aime.
Tous les anciens visages
Il faut du temps, pour arriver
Tout au bout du voyage
Il faut du temps, pour arrêter
Le manège aux images
Il faut du temps, pour s’en aller
Vers d’autres beaux rivages
Le temps m’a enlevé ta vie
Comme le sable dans mes doigts
Le vent a effacé mes pas
Voilà que le ciel devient gris
Que les jours deviennent plus courts
Dès que je pense à mes amours
Comme l’on peut avoir l’air bête
Immobile comme un poète
Devant une page toute blanche
Toute blanche
Il faut du temps, pour espérer
Être encore amoureuse
Il faut du temps, pour s’habituer
A être encore heureuse
Il faut du temps, pour ne plus voir
Chaque nuit ton sourire
Il faut du temps, pour ne plus croire
Que je peux en mourir
Comme une fleur dans un grand livre
Ma vie se fane mais reste belle
J’entends d’autres voix qui m’appellent
J’ai encore des amours à vivre
Car il me reste bien des pleurs
Pour affronter d’autres malheurs
Avec le jour qui va renaître
Je sens monter comme un bien-être
Comme si c’était un beau dimanche
Un beau dimanche
Il faut du temps, pour oublier
De pleurer sur soi-même
Il faut du temps, pour s’habituer
A redire
Je t’aime... je t’aime... je t’aime.