Les paroles de la chanson
« Icare »
Frederik Mey
Des abîmes. Des torrents.
Des creneaux. Des châteaux blancs.
Des chimères passent devant le hublot.
Des voiles de cheveux d’ange
Caressent l’aile et s’effrangent,
Et dans un tourbillon renaissent à nouveau.
Je ne saurais décrire
Ce désir de m’enfuir
Qui me fait quitter la terre
Et silloner les airs.
Est-ce pour chercher d’autres dimensions?
Pour voir ce qu’il y a, là, derrière l’horizon?
Ou peut être comme icare,
Pour m’évader d’une prison.
Sous les grélons crépitants,
Les orages étourdissants,
Entrainé, balloté dans la ronde effrénée.
Des aiguilles. Des cadrans.
Et des voix en nasillant
Me guident sûrement dans le ciel déchaîné.
Je ne saurai décrire...
Des lacs. Des ruisseaux d’argent.
Des bois au soleil couchant.
Les silhouettes des villes dans le soir d’été.
Planer dans l’air cajoleur.
En atterrissant l’odeur
De foin coupé, le long de la piste éclairée.
Je ne saurai décrire...
Des creneaux. Des châteaux blancs.
Des chimères passent devant le hublot.
Des voiles de cheveux d’ange
Caressent l’aile et s’effrangent,
Et dans un tourbillon renaissent à nouveau.
Je ne saurais décrire
Ce désir de m’enfuir
Qui me fait quitter la terre
Et silloner les airs.
Est-ce pour chercher d’autres dimensions?
Pour voir ce qu’il y a, là, derrière l’horizon?
Ou peut être comme icare,
Pour m’évader d’une prison.
Sous les grélons crépitants,
Les orages étourdissants,
Entrainé, balloté dans la ronde effrénée.
Des aiguilles. Des cadrans.
Et des voix en nasillant
Me guident sûrement dans le ciel déchaîné.
Je ne saurai décrire...
Des lacs. Des ruisseaux d’argent.
Des bois au soleil couchant.
Les silhouettes des villes dans le soir d’été.
Planer dans l’air cajoleur.
En atterrissant l’odeur
De foin coupé, le long de la piste éclairée.
Je ne saurai décrire...