Les paroles de la chanson
« Hymne au désamour »
Robert Charlebois
Je voulais t’écrire mais je préfère te dire
Que je fais plus la différence
Entre mes désirs et l’indifférence
À tes soupirs
Tu étais mon amour simple
Tu étais mon plaisir trouble
Tu étais un peu mon double
On aimait les mêmes artistes
Nos sourires étaient complices
Tout au long de nos hivers tristes
Tu étais mon amour fou
Tu me rendais souvent jaloux
En te voyant, je tremblais de partout
Tes seins ronds sous ton blouson
Comme deux fruits de la passion
Me faisaient vibrer d’émotion
Puis une nuit, tu es partie
Sans doute pour un autre lit
Tout est devenu morose,
Évanouie la vie en rose
Et cette chanson de Ferré
Qu’on écoutait si serrés
S’est enrayée pour toujours
Bonsoir l’hymne au désamour
Tu m’as fait toucher le fond
Pleurer comme un petit garçon
Puis t’es tombée de mon coeur
J’ai piétiné ma rancoeur
Les jours, les semaines ont passé
Dans la rue, quand je t’ai croisée,
Mon coeur ne s’est même pas retourné
Comme cette nuit où t’es partie
Sans doute pour un autre lit
Que tout est devenu morose,
Évanouie la vie en rose
Et cette chanson de Ferré
Qu’on écoutait si serrés
S’est enrayée pour toujours
Bonsoir l’hymne au désamour
Tu étais mon amour simple
Tu étais mon plaisir trouble
Tu étais un peu mon double
Tu étais, tu étais
Puis une nuit tu es partie
Sans doute pour un autre lit
Tout est devenu morose,
Balayée la vie en rose
Et cette vieille chanson de Ferré
Qu’on écoutait si serrés
S’est enrayée pour toujours {x3}
Bonsoir l’hymne au désamour
Que je fais plus la différence
Entre mes désirs et l’indifférence
À tes soupirs
Tu étais mon amour simple
Tu étais mon plaisir trouble
Tu étais un peu mon double
On aimait les mêmes artistes
Nos sourires étaient complices
Tout au long de nos hivers tristes
Tu étais mon amour fou
Tu me rendais souvent jaloux
En te voyant, je tremblais de partout
Tes seins ronds sous ton blouson
Comme deux fruits de la passion
Me faisaient vibrer d’émotion
Puis une nuit, tu es partie
Sans doute pour un autre lit
Tout est devenu morose,
Évanouie la vie en rose
Et cette chanson de Ferré
Qu’on écoutait si serrés
S’est enrayée pour toujours
Bonsoir l’hymne au désamour
Tu m’as fait toucher le fond
Pleurer comme un petit garçon
Puis t’es tombée de mon coeur
J’ai piétiné ma rancoeur
Les jours, les semaines ont passé
Dans la rue, quand je t’ai croisée,
Mon coeur ne s’est même pas retourné
Comme cette nuit où t’es partie
Sans doute pour un autre lit
Que tout est devenu morose,
Évanouie la vie en rose
Et cette chanson de Ferré
Qu’on écoutait si serrés
S’est enrayée pour toujours
Bonsoir l’hymne au désamour
Tu étais mon amour simple
Tu étais mon plaisir trouble
Tu étais un peu mon double
Tu étais, tu étais
Puis une nuit tu es partie
Sans doute pour un autre lit
Tout est devenu morose,
Balayée la vie en rose
Et cette vieille chanson de Ferré
Qu’on écoutait si serrés
S’est enrayée pour toujours {x3}
Bonsoir l’hymne au désamour