Les paroles de la chanson
« Hôtel pourri (feat. louis ville) »
Mell
et dans cet hôtel pourri
Aux fastes d’antan
Immobile qui attend
Un bel enterrement
Et dans cet hôtel pourri
Je peux sentir l’âme
De tous ceux qui ont baisé
Et qui sont crevés
La tapisserie est si lourde
Tellement jaunie
Que les fleurs ne savent même plus
Qu’elles peuvent être belles
Se rappellent-elles de ces cris
De joie, de bonheur
Quand deux êtres s’amient tant
Quand ils n’ont plus peur
Ont-elles vu toutes ces larmes
Quand la femme sait
Que l’amour qu’elle a reçu
Demain ne s’ra plus
Quand la douleur est si forte
Que l’autre est si loin
Comme la chambre lui semble moche
Elle se tord tellement qu’elle l’aime
La glace piquée me renvoît
Le visage livide
De quelqu’un qui a pas baisé
Qui sait plus s’aimer
Dehors tout doucement
Je caresse mon sexe qui attend
Qui attend, qui attend un bel enterrement
Tu vois j’arrive plus à bander
Même si j’imagine tous ces culs
Qui sont lavés sur c’bidet fendu
J’arrive même plus à me voir
Entrain d’caresser
La toison douce d’une blonde
Qui est là pour m’aimer
Alors alors alors j’sais plus
J’chiale comme un con
Pourquoi la glace me r’garde
Pourquoi mes larmes coulent pas
J’empoigne ce putain d’bidet
Et j’l’envoie sur ma gueule
Qui éclate et qui tombe
Sur le plancher qui pisse
Sur cette tapisserie jaunie
Tellement pourrie
Pourrie comme le sang qui pisse
Dessous mes pieds
Alors alors alors j’sais plus
J’chiale comme un con
J’attends, j’attends
J’sais pas quoi mais j’attends
Aux fastes d’antan
Immobile qui attend
Un bel enterrement
Et dans cet hôtel pourri
Je peux sentir l’âme
De tous ceux qui ont baisé
Et qui sont crevés
La tapisserie est si lourde
Tellement jaunie
Que les fleurs ne savent même plus
Qu’elles peuvent être belles
Se rappellent-elles de ces cris
De joie, de bonheur
Quand deux êtres s’amient tant
Quand ils n’ont plus peur
Ont-elles vu toutes ces larmes
Quand la femme sait
Que l’amour qu’elle a reçu
Demain ne s’ra plus
Quand la douleur est si forte
Que l’autre est si loin
Comme la chambre lui semble moche
Elle se tord tellement qu’elle l’aime
La glace piquée me renvoît
Le visage livide
De quelqu’un qui a pas baisé
Qui sait plus s’aimer
Dehors tout doucement
Je caresse mon sexe qui attend
Qui attend, qui attend un bel enterrement
Tu vois j’arrive plus à bander
Même si j’imagine tous ces culs
Qui sont lavés sur c’bidet fendu
J’arrive même plus à me voir
Entrain d’caresser
La toison douce d’une blonde
Qui est là pour m’aimer
Alors alors alors j’sais plus
J’chiale comme un con
Pourquoi la glace me r’garde
Pourquoi mes larmes coulent pas
J’empoigne ce putain d’bidet
Et j’l’envoie sur ma gueule
Qui éclate et qui tombe
Sur le plancher qui pisse
Sur cette tapisserie jaunie
Tellement pourrie
Pourrie comme le sang qui pisse
Dessous mes pieds
Alors alors alors j’sais plus
J’chiale comme un con
J’attends, j’attends
J’sais pas quoi mais j’attends