Les paroles de la chanson
« Hospitalité »
Batlik
Lorsque mes dents seront toutes tombées
Et que je ne marcherais plus
Qu’un inconnu viendra me changer
Mais que plus rien ne changera jamais plus
La solitude me rendra des visites
Et plus souvent je m’ennuierais
Courir rejoindre avant qu’il ne me quitte
Les souvenirs que je rattraperais
Du temps en ta compagnie pour tromper l’ennui jusqu’à midi
Du temps en ta compagnie pour m’accompagner jusqu’à minuit
La nourriture prendra le goût
De tes deux hanches et de leur hospitalité
J’entendrais sans me tordre le cou
Ton souffle derrière l’oreiller
Et j’arriverais enfin à revoir
Les choses comme tu les voyais
Sans la colère, ni sans l’épais brouillard
C’est au soleil que je repasserais
Du temps en ta compagnie pour tromper l’ennui jusqu’à midi
Du temps en ta compagnie pour m’accompagner jusqu’à minuit
Si la faucheuse arrive par derrière
Sans prévenir, sans dire à mon auriculaire
Si j’ai le temps de me sentir tomber
Je sais où j’irais m’allonger
Dans un hamac solidement attaché
Entre un chêne et un châtaigner
L’éternité planquée sous les étoiles
Niché au chaud sous ton ombilical
Et que je ne marcherais plus
Qu’un inconnu viendra me changer
Mais que plus rien ne changera jamais plus
La solitude me rendra des visites
Et plus souvent je m’ennuierais
Courir rejoindre avant qu’il ne me quitte
Les souvenirs que je rattraperais
Du temps en ta compagnie pour tromper l’ennui jusqu’à midi
Du temps en ta compagnie pour m’accompagner jusqu’à minuit
La nourriture prendra le goût
De tes deux hanches et de leur hospitalité
J’entendrais sans me tordre le cou
Ton souffle derrière l’oreiller
Et j’arriverais enfin à revoir
Les choses comme tu les voyais
Sans la colère, ni sans l’épais brouillard
C’est au soleil que je repasserais
Du temps en ta compagnie pour tromper l’ennui jusqu’à midi
Du temps en ta compagnie pour m’accompagner jusqu’à minuit
Si la faucheuse arrive par derrière
Sans prévenir, sans dire à mon auriculaire
Si j’ai le temps de me sentir tomber
Je sais où j’irais m’allonger
Dans un hamac solidement attaché
Entre un chêne et un châtaigner
L’éternité planquée sous les étoiles
Niché au chaud sous ton ombilical