Les paroles de la chanson
« Hier encore (duo avec charles aznavour) »
Elton John
Hier encore, j’avais vingt ans
Je caressais le temps
et jouais de la vie
Comme on joue de l’amour
Et je vivais la nuit
Sans compter sur mes jours
Qui fouillait dans le temps
J’ai fait tant de projet
Qui sont restés en l’air
J’ai fondé tant d’espoir
Qui se sont envolés
Que je reste perdu
Ne sachant où aller
Les yeux cherchant le ciel
Mais le coeur mis en terre
Hier encore, j’avais vingt ans
Je gaspillais le temps
En croyant l’arrêter
Et pour le retenir même le dévancer
Je ne fais que pourrir
Et me suis essouflé
Ignorant le passé
Conjugant au futur
Je précédais de moi
Toute conversation
Et donnais mon avis
Que je voulais le bom
Pour critiquer le monde avec désinvolture
Hier encore, j’avais vingt ans
Mais j’ai perdu mon temps
À faire des folies
Qui ne me laissent au fond
Rien de vraiment précis
Que quelques rides au front
Et la peur de l’ennui
Car mes amours sont morts
Avant qu’ils n’existaient
Mes amis sont partis
Et ne reviendront pas
Par ma faute j’ai fait
Le vide autour de moi
Et j’ai gaché ma vie
Et mes jeunes années
Du meilleur et du pire
En jettant le meilleur
J’ai figé mes sourires
Et j’ai glacé mes pleures
Où sont-ils à présent, à présent
Mes vingt ans, mes vingt ans
Je caressais le temps
et jouais de la vie
Comme on joue de l’amour
Et je vivais la nuit
Sans compter sur mes jours
Qui fouillait dans le temps
J’ai fait tant de projet
Qui sont restés en l’air
J’ai fondé tant d’espoir
Qui se sont envolés
Que je reste perdu
Ne sachant où aller
Les yeux cherchant le ciel
Mais le coeur mis en terre
Hier encore, j’avais vingt ans
Je gaspillais le temps
En croyant l’arrêter
Et pour le retenir même le dévancer
Je ne fais que pourrir
Et me suis essouflé
Ignorant le passé
Conjugant au futur
Je précédais de moi
Toute conversation
Et donnais mon avis
Que je voulais le bom
Pour critiquer le monde avec désinvolture
Hier encore, j’avais vingt ans
Mais j’ai perdu mon temps
À faire des folies
Qui ne me laissent au fond
Rien de vraiment précis
Que quelques rides au front
Et la peur de l’ennui
Car mes amours sont morts
Avant qu’ils n’existaient
Mes amis sont partis
Et ne reviendront pas
Par ma faute j’ai fait
Le vide autour de moi
Et j’ai gaché ma vie
Et mes jeunes années
Du meilleur et du pire
En jettant le meilleur
J’ai figé mes sourires
Et j’ai glacé mes pleures
Où sont-ils à présent, à présent
Mes vingt ans, mes vingt ans