Les paroles de la chanson
« Gros zéro »
Yelo Molo
J’me voyais sur les planches, mais on m’a boudé
J’ai décidé de critiquer tous ceux qui avaient leur chance
J’me suis perdu dans ma tête même si j’étais à l’étroit,
Parce que j’me suis sauvé de ceux qui m’trouvaient trop hideux,
J’ai rien de séduisant, mais au moins, j’ai rien de trop commun,
J’suis comme un gros zéro!
J’vais m’cacher dins annales, ah, ah, j’vais dev’nir journaliste, ah, ah!
Chroniqueur d’Ici Montreal, ah, ah! pis j’vais m’venger su’es artistes, ouais!
Heille, heille, heille, heille, heille!
Ils ont jamais réussi à m’tougher tout un cinq à sept,
Les filles me regardent tout l’temps, en riant de moi quand j’insiste,
J’ai d’l’air d’la deuxième guerre mondiale qui attend quarante-cinq,
Comme un de mes ancêtres, qui s’est fendu en quatre
Pour se débarasser de lui, ils l’ont jeté, seul, dans l’ch’val de Troie,
I’a mangé sa volée, tous ses descendants sont hideux,
Mais lui, tout c’qu’il a connu, c’est un pour tous, mais tous contre un,
C’est l’ancêtre du zéro!
J’me f’rai plus des accroires, ah, ah, j’vais dev’nir journaliste, ah, ah!
Chroniqueur du Devoir, ah, ah! pis j’vais varger su’es artistes, ouais!
Heille, heille, heille, heille, heille!
J’fais un rêve toutes les nuits : y a deux filles qui me parlent,
Et quand elles me sourient, j’comprends qu’c’est pas normal!
Moi, j’suis pas de ceux qui pourraient se permettre un trip à trois,
De toute façon, les obsédés, moi j’veux rien savoir d’eux,
J’aime mieux rester tout seul, pis des troub’es, j’en aurai aucun,
Propre comme un gros zéro!
J’ai décidé de critiquer tous ceux qui avaient leur chance
J’me suis perdu dans ma tête même si j’étais à l’étroit,
Parce que j’me suis sauvé de ceux qui m’trouvaient trop hideux,
J’ai rien de séduisant, mais au moins, j’ai rien de trop commun,
J’suis comme un gros zéro!
J’vais m’cacher dins annales, ah, ah, j’vais dev’nir journaliste, ah, ah!
Chroniqueur d’Ici Montreal, ah, ah! pis j’vais m’venger su’es artistes, ouais!
Heille, heille, heille, heille, heille!
Ils ont jamais réussi à m’tougher tout un cinq à sept,
Les filles me regardent tout l’temps, en riant de moi quand j’insiste,
J’ai d’l’air d’la deuxième guerre mondiale qui attend quarante-cinq,
Comme un de mes ancêtres, qui s’est fendu en quatre
Pour se débarasser de lui, ils l’ont jeté, seul, dans l’ch’val de Troie,
I’a mangé sa volée, tous ses descendants sont hideux,
Mais lui, tout c’qu’il a connu, c’est un pour tous, mais tous contre un,
C’est l’ancêtre du zéro!
J’me f’rai plus des accroires, ah, ah, j’vais dev’nir journaliste, ah, ah!
Chroniqueur du Devoir, ah, ah! pis j’vais varger su’es artistes, ouais!
Heille, heille, heille, heille, heille!
J’fais un rêve toutes les nuits : y a deux filles qui me parlent,
Et quand elles me sourient, j’comprends qu’c’est pas normal!
Moi, j’suis pas de ceux qui pourraient se permettre un trip à trois,
De toute façon, les obsédés, moi j’veux rien savoir d’eux,
J’aime mieux rester tout seul, pis des troub’es, j’en aurai aucun,
Propre comme un gros zéro!