Les paroles de la chanson
« Grain de café »
Jean Marco
Il avait croqué une poignée de grains de café
Depuis il était très très très énervé
Il n’arrêtait plus de trotter à travers les rues
Il n’arrêtait plus d’ chanter comme un perdu
Il gesticulait, il s’agitait comme un dératé
Il nous répétait sans respirer d’un air très excité
Je viens de croquer une poignée de grains de café
Je suis stupéfait de l’effet que ça m’ fait
Grain de café
Depuis ce matin-là, tout l’ monde l’appelle comme ça
Grain de café
Il est toujours pressé, toujours énervé
C’est papa, grain de café, le sol le fait grain de café de Santa-Fé
Pour avoir croqué une poignée de grains de café
Il est maintenant le don juan d’ Santa-Fé
Met son alpaga, souliers plats, chapeau Panama
Fier comme un lama, il court par-ci par-là
Les femmes du quartier toutes pâmées
Lui à chaque pas en ramasse une et l’embrasse et s’en va
Et tout ça tout ça, ça s’est fait parce qu’une fois
Croyant que c’était une poignée de p’tits pois
Et tout ça tout ça, ça s’est fait parce qu’une fois
Croyant que c’était une poignée de p’tits pois
Il avait croqué une poignée de grains de café
Depuis il était très très très énervé
Il n’arrêtait plus de trotter à travers les rues
Il n’arrêtait plus d’ chanter comme un perdu
Il gesticulait, il s’agitait comme un dératé
Il nous répétait sans respirer d’un air très excité
Je viens de croquer une poignée de grains de café
Je suis stupéfait de l’effet que ça m’ fait
Grain de café
Depuis ce matin-là, tout l’ monde l’appelle comme ça
Grain de café
Il est toujours pressé, toujours énervé
C’est papa, grain de café, le sol le fait grain de café de Santa-Fé
Pour avoir croqué une poignée de grains de café
Il est maintenant le don juan d’ Santa-Fé
Met son alpaga, souliers plats, chapeau Panama
Fier comme un lama, il court par-ci par-là
Les femmes du quartier toutes pâmées
Lui à chaque pas en ramasse une et l’embrasse et s’en va
Et tout ça tout ça, ça s’est fait parce qu’une fois
Croyant que c’était une poignée de p’tits pois
Et tout ça tout ça, ça s’est fait parce qu’une fois
Croyant que c’était une poignée de p’tits pois
Il avait croqué une poignée de grains de café