Les paroles de la chanson
« Gisèle en automne »
Beau Dommage
Dis-moi tu, dis-moi le en silence
Avec moé voir un film ou une danse
Que je comprenne que tu m’aimes par des gestes
Prend ma main, on verra pour le reste
Toé pis moé on était endormi
Mal à l’aise, chacun seul dans son lit
Tu rêvais d’être un prince de roman
Moé je voulais être la belle au bois dormant
Faut jamais croire tout ce qu’ils disent des histoires
Qu’ils nous comptent dans les films ou les livres
Oublie tout ce qu’on va te conter pour à soir
On ne sait plus lire ou écrire, on va vivre
Nous vois-tu on se dirait dans une vue
Deux amants qui se promènent dans la rue
Amoureux à peu près par hasard
Mal partis mais chanceux sur le tard
Toé pis moé on allait voir du monde
Qu’on enviait vingt-quatre fois par secondes
Mal assis sur le bout de nos bancs
Toujours du mauvais bord de l’écran
Faut jamais croire tout ce qu’ils disent des histoires
Qu’ils nous comptent dans les films ou les livres
Oublie tout ce qu’on va te conter pour à soir
On ne sait plus lire ou écrire, on va vivre
Faut jamais croire tout ce qu’ils disent des histoires
Qu’ils nous comptent dans les films ou les livres
Oublie tout ce qu’on va te conter pour à soir
On ne sait plus lire ou écrire, on va vivre
Dis-moi tu, dis-moi le en silence
Avec moé voir un film ou une danse
Que je comprenne que tu m’aimes par des gestes
Prend ma main, on verra pour le reste
Avec moé voir un film ou une danse
Que je comprenne que tu m’aimes par des gestes
Prend ma main, on verra pour le reste
Toé pis moé on était endormi
Mal à l’aise, chacun seul dans son lit
Tu rêvais d’être un prince de roman
Moé je voulais être la belle au bois dormant
Faut jamais croire tout ce qu’ils disent des histoires
Qu’ils nous comptent dans les films ou les livres
Oublie tout ce qu’on va te conter pour à soir
On ne sait plus lire ou écrire, on va vivre
Nous vois-tu on se dirait dans une vue
Deux amants qui se promènent dans la rue
Amoureux à peu près par hasard
Mal partis mais chanceux sur le tard
Toé pis moé on allait voir du monde
Qu’on enviait vingt-quatre fois par secondes
Mal assis sur le bout de nos bancs
Toujours du mauvais bord de l’écran
Faut jamais croire tout ce qu’ils disent des histoires
Qu’ils nous comptent dans les films ou les livres
Oublie tout ce qu’on va te conter pour à soir
On ne sait plus lire ou écrire, on va vivre
Faut jamais croire tout ce qu’ils disent des histoires
Qu’ils nous comptent dans les films ou les livres
Oublie tout ce qu’on va te conter pour à soir
On ne sait plus lire ou écrire, on va vivre
Dis-moi tu, dis-moi le en silence
Avec moé voir un film ou une danse
Que je comprenne que tu m’aimes par des gestes
Prend ma main, on verra pour le reste