Les paroles de la chanson
« Girouette »
Georges Chelon
Ma petite girouette
Rien qu’un brin de vent
Te fait tourner la tête.
Ma petite girouette
N’as-tu dans la tête
Que du vent?
Tourne, tourne girouette
Les soirs de gros temps,
Les soirs de tempête,
Où les braises d’amourette
Retrouvent leurs flammes
Sous l’ardeur du vent.
Il suffit qu’un mot d’amour,
Qu’un brin de vent colporte,
Vienne à gratter ta porte.
Il suffit que, ce soir-là,
Ta flèche se mette à penser
Qui elle pourrait percer
Pour déserter mon toit
Pour un autre toit.
D’une simple pirouette
Tu reviens vers moi
Quand le vent s’arrête.
Et je fête ta conquête
Tout en retrouvant
Mon souffle d’antan.
Mais revoilà le vent
Qui fait battre ta porte,
Revoilà qu’il t’emporte.
Et de nouveau le vent
Qui m’apporte en retour
La voix d’un chant d’amour.
Et je pleure les mois
Où tu chantais pour moi.
Ma petite girouette
Quand t’arrêteras-tu
De perdre la tête?
Ma petite girouette
Voudras-tu un jour
Rester sous mon toit?
Il est temps ma girouette
De t’emmener loin
Vers une planète
Où je souhaite que, peut-être,
Il existe un coin à l’abri du vent.
Rien qu’un brin de vent
Te fait tourner la tête.
Ma petite girouette
N’as-tu dans la tête
Que du vent?
Tourne, tourne girouette
Les soirs de gros temps,
Les soirs de tempête,
Où les braises d’amourette
Retrouvent leurs flammes
Sous l’ardeur du vent.
Il suffit qu’un mot d’amour,
Qu’un brin de vent colporte,
Vienne à gratter ta porte.
Il suffit que, ce soir-là,
Ta flèche se mette à penser
Qui elle pourrait percer
Pour déserter mon toit
Pour un autre toit.
D’une simple pirouette
Tu reviens vers moi
Quand le vent s’arrête.
Et je fête ta conquête
Tout en retrouvant
Mon souffle d’antan.
Mais revoilà le vent
Qui fait battre ta porte,
Revoilà qu’il t’emporte.
Et de nouveau le vent
Qui m’apporte en retour
La voix d’un chant d’amour.
Et je pleure les mois
Où tu chantais pour moi.
Ma petite girouette
Quand t’arrêteras-tu
De perdre la tête?
Ma petite girouette
Voudras-tu un jour
Rester sous mon toit?
Il est temps ma girouette
De t’emmener loin
Vers une planète
Où je souhaite que, peut-être,
Il existe un coin à l’abri du vent.