Les paroles de la chanson
« Ghetto youth »
Don Choa
Ici c’est ASSEDIC, Intérim, Cotorep et RMI
Ceux qui s’endorment à l’heure du crime, s’réveille au TGI.
Ici c’est les bons d’la CAF, les cartes CMU.
Beaucoup qui taff dure pour claker la paye au PMU.
En stress les CRS, viennent quadriller la zup.
On est harceler par la BAC et pister par les stups.
C’est des controles d’identité tous les quarts d’heure
Il y a les braqueurs, les dealers et l’écarteur
[refrain]
Chacun sa vie, (chacun sa vie)
Chacun sa merde, (chacun sa merde)
Tout a un prix, moi j’fais mon biz
J’ai rien à perdre, (j’ai rien à perdre)
Faut rien lacher, (faut rien lacher)
Fais tes affaires, (fais tes affaires)
Tu veux la paix, (tu veux la paix)
Prépare la guerre
Chaque jours faut se battre, (chaque jours faut se battre)
C’est la vie d’un galerio, (c’est la vie d’un galerio)
Toujours la meme histoire, (toujours la même histoire)
Juste la vie d’un galerio, (juste la vie d’un galerio)
J’suis pas PDG d’une PME.
Juste hargneux et haineux.
Fais la queue à l’ANPE.
Tu trouves même pas un CNE.
C’est pas les APL qui t’empechent de devenir SDF.
Plutôt rentrer avec un RPG dans le PDF.
On veut niquer l’bénef.
Que nos vies se mettent à chiffrer.
Quand nos models sont positifs.
C’est au test HIV.
Trop d’anciens mélangent l’héro et la CC.
Trop d’jeunes ont le matos pour cloner ta CB.
[refrain]
Chacun sa vie, (chacun sa vie)
Chacun sa merde, (chacun sa merde)
Tout a un prix, moi j’fais mon biz
J’ai rien à perdre, (j’ai rien à perdre)
Faut rien lacher, (faut rien lacher)
Fais tes affaires, (fais tes affaires)
Tu veux la paix, (tu veux la paix)
Prépare la guerre
Chaque jours faut se battre, (chaque jours faut se battre)
C’est la vie d’un galerio, (c’est la vie d’un galerio)
Toujours la meme histoire, (toujours la même histoire)
Juste la vie d’un galerio, (juste la vie d’un galerio)
Pour tous les ghettos youths, tous les vibs, tous les styles, tous les absents.
Dédicaces de tarés, tous les ages, tous les absents
Ghetto youth, tous les vibs, tous les styles, tous les absents.
Dédicaces de tarés tous les ages, tous les absents.
Ceux qui s’endorment à l’heure du crime, s’réveille au TGI.
Ici c’est les bons d’la CAF, les cartes CMU.
Beaucoup qui taff dure pour claker la paye au PMU.
En stress les CRS, viennent quadriller la zup.
On est harceler par la BAC et pister par les stups.
C’est des controles d’identité tous les quarts d’heure
Il y a les braqueurs, les dealers et l’écarteur
[refrain]
Chacun sa vie, (chacun sa vie)
Chacun sa merde, (chacun sa merde)
Tout a un prix, moi j’fais mon biz
J’ai rien à perdre, (j’ai rien à perdre)
Faut rien lacher, (faut rien lacher)
Fais tes affaires, (fais tes affaires)
Tu veux la paix, (tu veux la paix)
Prépare la guerre
Chaque jours faut se battre, (chaque jours faut se battre)
C’est la vie d’un galerio, (c’est la vie d’un galerio)
Toujours la meme histoire, (toujours la même histoire)
Juste la vie d’un galerio, (juste la vie d’un galerio)
J’suis pas PDG d’une PME.
Juste hargneux et haineux.
Fais la queue à l’ANPE.
Tu trouves même pas un CNE.
C’est pas les APL qui t’empechent de devenir SDF.
Plutôt rentrer avec un RPG dans le PDF.
On veut niquer l’bénef.
Que nos vies se mettent à chiffrer.
Quand nos models sont positifs.
C’est au test HIV.
Trop d’anciens mélangent l’héro et la CC.
Trop d’jeunes ont le matos pour cloner ta CB.
[refrain]
Chacun sa vie, (chacun sa vie)
Chacun sa merde, (chacun sa merde)
Tout a un prix, moi j’fais mon biz
J’ai rien à perdre, (j’ai rien à perdre)
Faut rien lacher, (faut rien lacher)
Fais tes affaires, (fais tes affaires)
Tu veux la paix, (tu veux la paix)
Prépare la guerre
Chaque jours faut se battre, (chaque jours faut se battre)
C’est la vie d’un galerio, (c’est la vie d’un galerio)
Toujours la meme histoire, (toujours la même histoire)
Juste la vie d’un galerio, (juste la vie d’un galerio)
Pour tous les ghettos youths, tous les vibs, tous les styles, tous les absents.
Dédicaces de tarés, tous les ages, tous les absents
Ghetto youth, tous les vibs, tous les styles, tous les absents.
Dédicaces de tarés tous les ages, tous les absents.
