Les paroles de la chanson
« Gens qui pleurent, gens qui rient »
Claude François
Gens qui pleurent, gens qui rient
Dans la ville, dans la rue
Gens qui courent, gens qui crient
Des milliers d’inconnus
Gens qui vont, gens qui viennent
Tout passe bien trop vite
Gens qui rêvent, gens qui s’aiment
On se trouve, on se quitte
Et moi aussi, je ne suis qu’une larme
Dans l’océan de la foule qui marche
Moi aussi, c’est le bonheur que je poursuis
Ou l’ombre de ma vie
Je suis comme ces gens qui pleurent, gens qui rient
Je sais bien que tu pleures
Gens qui courent, gens qui crient
Je t’appelle, j’ai peur
Oh, oh, gens qui vont, gens qui viennent
Je crois que je te vois
Gens qui rêvent, gens qui s’aiment
Mais ce n’est jamais toi
Vienne la nuit je chercherai quand même
Vienne la pluie je chercherai quand même
Chaque pas que je fais m’éloigne de toi
Comme un mur entre nous
Il y a tous ces gens qui pleurent, gens qui rient
Dans la ville, dans la rue
Gens qui courent, gens qui crient
Des milliers d’inconnus
Oh, oh, gens qui vont, gens qui viennent
Tout passe bien trop vite
Gens qui rêvent, gens qui s’aiment
On se trouve, on se quitte
Gens qui pleurent, gens qui rient
Dans la ville, dans la rue
Gens qui courent, gens qui crient
Des milliers d’inconnus
Oh, oh, gens qui vont, gens qui viennent
Tout passe bien trop vite
Gens qui rêvent, gens qui s’aiment
On se trouve, on se quitte
Dans la ville, dans la rue
Gens qui courent, gens qui crient
Des milliers d’inconnus
Gens qui vont, gens qui viennent
Tout passe bien trop vite
Gens qui rêvent, gens qui s’aiment
On se trouve, on se quitte
Et moi aussi, je ne suis qu’une larme
Dans l’océan de la foule qui marche
Moi aussi, c’est le bonheur que je poursuis
Ou l’ombre de ma vie
Je suis comme ces gens qui pleurent, gens qui rient
Je sais bien que tu pleures
Gens qui courent, gens qui crient
Je t’appelle, j’ai peur
Oh, oh, gens qui vont, gens qui viennent
Je crois que je te vois
Gens qui rêvent, gens qui s’aiment
Mais ce n’est jamais toi
Vienne la nuit je chercherai quand même
Vienne la pluie je chercherai quand même
Chaque pas que je fais m’éloigne de toi
Comme un mur entre nous
Il y a tous ces gens qui pleurent, gens qui rient
Dans la ville, dans la rue
Gens qui courent, gens qui crient
Des milliers d’inconnus
Oh, oh, gens qui vont, gens qui viennent
Tout passe bien trop vite
Gens qui rêvent, gens qui s’aiment
On se trouve, on se quitte
Gens qui pleurent, gens qui rient
Dans la ville, dans la rue
Gens qui courent, gens qui crient
Des milliers d’inconnus
Oh, oh, gens qui vont, gens qui viennent
Tout passe bien trop vite
Gens qui rêvent, gens qui s’aiment
On se trouve, on se quitte