Les paroles de la chanson
« Galanterie »
Jacques Douai
Quand même tu dirais,
Que tu me trahirais,
Si c’était ton caprice.
Alors que me ferait,
Ce terrible secret,
Si c’était ton caprice.
De quand même t’aimer,
Dessus-tu le blâmer,
Ou plaindre mon caprice.
D’être si bien à toi,
Qu’il ne m’est dieu ni roi,
Ni rien que ton caprice.
Quand tu me trahirais,
Eh bien donc j’en mourrais,
Adorant ton caprice.
Alors que me ferait,
Un malheur qui serait,
Conforme à mon caprice.
Que tu me trahirais,
Si c’était ton caprice.
Alors que me ferait,
Ce terrible secret,
Si c’était ton caprice.
De quand même t’aimer,
Dessus-tu le blâmer,
Ou plaindre mon caprice.
D’être si bien à toi,
Qu’il ne m’est dieu ni roi,
Ni rien que ton caprice.
Quand tu me trahirais,
Eh bien donc j’en mourrais,
Adorant ton caprice.
Alors que me ferait,
Un malheur qui serait,
Conforme à mon caprice.