Les paroles de la chanson
« Fruits de mer »
Serge Reggiani
{Refrain}
La mer dépose sur le sable
Les beaux fruits de l’été enfui
Maintenant qu’il pleut sur Paris
La jolie fable, ô Nathalie
Moi c’est à Trégastel que j’ai rencontré Isabelle
Au grand soleil, au creux du sable
C’était un fruit bien désirable
Chaque plage est un grand verger
Chacun rêve d’y jardiner
Puis c’est à Camaret
Que j’ai rencontré Désirée
Au Grand Pardon, qu’elle était belle
Mais le filet de ses dentelles
Cachait deux pommes sur son coeur
{Au refrain}
Et c’est à Saint-Tropez
Que j’ai rencontré Dorothée
Bouche de fraise, fruits défendus
Dans le midi sont descendus
Pommes au recto, pêches au verso
Là tous les fruits dansaient dans l’eau
Oui mais c’est à Paris
Que j’ai retrouvé Nathalie
Même en hiver, c’est la plus belle
Emmitouflée jusqu’aux prunelles
Fruits noirs dans le capuchon blanc
Des jours de neige et de grand vent
Le mer dépose sur la grève
Les beaux fruits des saisons trop brèves
Tandis qu’il pleut, qu’il pleut sans trève
C’était un rêve, ô Nathalie
Souviens-toi longtemps des beaux jours
Dans les petits matins blafards
Dans le fracas des grands boulevards
Ô Nathalie, ô mon amour
La mer dépose sur le sable
Les beaux fruits de l’été enfui
Maintenant qu’il pleut sur Paris
La jolie fable, ô Nathalie
Moi c’est à Trégastel que j’ai rencontré Isabelle
Au grand soleil, au creux du sable
C’était un fruit bien désirable
Chaque plage est un grand verger
Chacun rêve d’y jardiner
Puis c’est à Camaret
Que j’ai rencontré Désirée
Au Grand Pardon, qu’elle était belle
Mais le filet de ses dentelles
Cachait deux pommes sur son coeur
{Au refrain}
Et c’est à Saint-Tropez
Que j’ai rencontré Dorothée
Bouche de fraise, fruits défendus
Dans le midi sont descendus
Pommes au recto, pêches au verso
Là tous les fruits dansaient dans l’eau
Oui mais c’est à Paris
Que j’ai retrouvé Nathalie
Même en hiver, c’est la plus belle
Emmitouflée jusqu’aux prunelles
Fruits noirs dans le capuchon blanc
Des jours de neige et de grand vent
Le mer dépose sur la grève
Les beaux fruits des saisons trop brèves
Tandis qu’il pleut, qu’il pleut sans trève
C’était un rêve, ô Nathalie
Souviens-toi longtemps des beaux jours
Dans les petits matins blafards
Dans le fracas des grands boulevards
Ô Nathalie, ô mon amour