Les paroles de la chanson
« Frères de la cote »
Bernard Lavilliers
Frères de la côte aux yeux bagués
Radio pirate identifiée
Frères autonomes du Sud au Nord
Fichés, marqués, gens des grands ports
Ombres traquées par la police
Classant les puissants sur des listes
Aventuriers de l’entre-sol
Marchands doubles de camisole
Prophètes escrocs, psychiatres troubles
Journeaux truqués, frappeurs de roubles
Miroirs sans tain, vérités borgnes
Hommes de main, basses besognes
Révélations non diffusées
Arrêts du cœur inexpliqués
Barbares aux couteaux étoilés
Un œillet à la boutonnière
Qui assassinez les banquiers
Vous n’avez ni croix ni bannière
Le Bien est une fleur calcinée
Le Mal un retour en arrière
Le Risque un composant de l’air
La Mort un sourire décalé
Séchez votre sang dans le noir
Dites-moi où est le pouvoir?
Gens de pouvoir aux mains de fer
Trafiquants d’azur sur la mer
Pétroliers gris dans le brouillard
Aux équipages de bagnards
Vous avez caché dans vos soutes
Quelques abstentions pour le doute
Message codé aux interphones
Dans les couloirs du Pentagone
Tueurs glacés professionnels
Allant très vite à l’essentiel
Prise arrachée pour le sommeil
Billets open pour le soleil
Chèques en blanc barrés sur l’ennui
Sex symbol pour l’appétit
Manipulation des mémoires
Luttes inter-clans dans le couloir
Téléphones piégés, la terreur
Dans la mémoire des producteurs
L’Amour est un colis piégé
La Haine un moteur auxiliaire
L’Angoisse une voix qu’on fait taire
La Mort un vieux compte à régler
Rampez dans l’immense entonnoir
Dites-moi où est le pouvoir?
Radio pirate identifiée
Frères autonomes du Sud au Nord
Fichés, marqués, gens des grands ports
Ombres traquées par la police
Classant les puissants sur des listes
Aventuriers de l’entre-sol
Marchands doubles de camisole
Prophètes escrocs, psychiatres troubles
Journeaux truqués, frappeurs de roubles
Miroirs sans tain, vérités borgnes
Hommes de main, basses besognes
Révélations non diffusées
Arrêts du cœur inexpliqués
Barbares aux couteaux étoilés
Un œillet à la boutonnière
Qui assassinez les banquiers
Vous n’avez ni croix ni bannière
Le Bien est une fleur calcinée
Le Mal un retour en arrière
Le Risque un composant de l’air
La Mort un sourire décalé
Séchez votre sang dans le noir
Dites-moi où est le pouvoir?
Gens de pouvoir aux mains de fer
Trafiquants d’azur sur la mer
Pétroliers gris dans le brouillard
Aux équipages de bagnards
Vous avez caché dans vos soutes
Quelques abstentions pour le doute
Message codé aux interphones
Dans les couloirs du Pentagone
Tueurs glacés professionnels
Allant très vite à l’essentiel
Prise arrachée pour le sommeil
Billets open pour le soleil
Chèques en blanc barrés sur l’ennui
Sex symbol pour l’appétit
Manipulation des mémoires
Luttes inter-clans dans le couloir
Téléphones piégés, la terreur
Dans la mémoire des producteurs
L’Amour est un colis piégé
La Haine un moteur auxiliaire
L’Angoisse une voix qu’on fait taire
La Mort un vieux compte à régler
Rampez dans l’immense entonnoir
Dites-moi où est le pouvoir?