Les paroles de la chanson
« Frappe, frappe, frappe »
Napoléon
(Toc, toc, toc)
- C’est ta Joséphine rose
(Frappe, frappe, frappe)
Qui cogne à ta porte close
(Frappe, frappe, frappe)
J’entends derrière la porte
Ton cœur qui fait les cent pas
Ouvre, je suis comme morte!
- Je n’ouvrirai pas!
- C’est la petite main fine
(Frappe, frappe, frappe)
De ta pauvre Joséphine
(Frappe, frappe, frappe)
J’entends derrière la porte
Tes yeux qui pleurent tout bas
Ouvre, ouvre-moi la porte!
- Je n’ouvrirai pas!
- Je ne suis pas si méchante
(Frappe, frappe, frappe)
Que tes frères te le chantent
(Frappe, frappe, frappe)
Pense à toutes ces nuits folles
Qui nous attendent déjà
Ouvre à ta petite créole!
- Je n’ouvrirai pas!
- Mes enfants pleurent en silence
(Frappe, frappe, frappe)
Ton Eugène et ton Hortense
(Frappe, frappe, frappe)
Tu fus pour ces petits êtres
Mieux qu’un père quelquefois
Ouvre-nous, on va renaître
Ouvre-nous les bras!
- Les femmes sont les plus fortes
Frappe, frappe, frappe
Quand la passion les transporte
Frappe, frappe, frappe
Tu es toujours ma créole
Et quoi qu’on m’ait dit de toi
Tu me rends fou!
- Je suis folle
- J’ai envie de toi!
J’aime ta bouche indigène
Et ton ventre inassouvi
Ton allure et ton haleine
M’aimes-tu, toi?
- Oui!
{Chœurs:}
Il aime sa bouche indigène
Et son ventre inassouvi
Son allure et son haleine
Il l’aime, c’est sûr
Pourvu que ça dure!
- C’est ta Joséphine rose
(Frappe, frappe, frappe)
Qui cogne à ta porte close
(Frappe, frappe, frappe)
J’entends derrière la porte
Ton cœur qui fait les cent pas
Ouvre, je suis comme morte!
- Je n’ouvrirai pas!
- C’est la petite main fine
(Frappe, frappe, frappe)
De ta pauvre Joséphine
(Frappe, frappe, frappe)
J’entends derrière la porte
Tes yeux qui pleurent tout bas
Ouvre, ouvre-moi la porte!
- Je n’ouvrirai pas!
- Je ne suis pas si méchante
(Frappe, frappe, frappe)
Que tes frères te le chantent
(Frappe, frappe, frappe)
Pense à toutes ces nuits folles
Qui nous attendent déjà
Ouvre à ta petite créole!
- Je n’ouvrirai pas!
- Mes enfants pleurent en silence
(Frappe, frappe, frappe)
Ton Eugène et ton Hortense
(Frappe, frappe, frappe)
Tu fus pour ces petits êtres
Mieux qu’un père quelquefois
Ouvre-nous, on va renaître
Ouvre-nous les bras!
- Les femmes sont les plus fortes
Frappe, frappe, frappe
Quand la passion les transporte
Frappe, frappe, frappe
Tu es toujours ma créole
Et quoi qu’on m’ait dit de toi
Tu me rends fou!
- Je suis folle
- J’ai envie de toi!
J’aime ta bouche indigène
Et ton ventre inassouvi
Ton allure et ton haleine
M’aimes-tu, toi?
- Oui!
{Chœurs:}
Il aime sa bouche indigène
Et son ventre inassouvi
Son allure et son haleine
Il l’aime, c’est sûr
Pourvu que ça dure!