Les paroles de la chanson
« Foot de rue (feat sounkail) »
Akhenaton
Partage, fair play, street football
Amitié, respect, street football
Debout d’vant l’porche, j’attends mes potes, coupe-vent et survêt, épaule contre la porte mais qu’est-ce qu’y font? C’est déjà 6 heures, moi là j’donne pas cher du sirop sorti du freezer, 20 minutes après ils arrivent, ça a fondu, j’en ai bu la moitié, ces larrons ont du retard, j’aurai pu la garder c’est vrai j’en ai marre comme de l’amener, trop de poires tous les soirs, ça va, on va pas en faire une affaire, c’est qui qu’ a amené le ballon?, toi Enzo? non, c’est ton frère Pétard, ça t’remet de ramener le nouveau, il est neuf, y craint le goudron mais faut bien qu’y s’use un jour ce foutu ballon, nous c’est la rue, lui a connu qu’l’armoire, l’étagère et les carreaux du *****, on râle pas, nous fait pas ta crise, j’m’excuse, tiens allez j’te paye un Mister Freeze, un menthe citron et cak cola, tout est pardonné, j’ai droit à une belle accolade, au fait j’crois qu’ce sont des gens, on dirait les mecs d’en bas, j’espère qu’ils l’ont gardé car si ceux du marché l’ont pris, ça va barder, c’est pourquoi j’dis tous le temps faut pas tarder! Ah c’est bon, j’vois personne avec eux, on sort, on presse le pas, on montre de quel bois on s’chauffe!....
[Refrain] :
Entre 4 vestes, 2 haies de buissons déferle un flot de pression
Chaque partie porte son lot de frissons
Partage, fair play, street football
Tous parés pour la compétition, symbole d’une génération, c’qui nous lie, plaisir et passion
Amitié, respect, street football
On arrive donc sur le terrain de hand du lycée, la grille était fermée, comme d’hab, sans faire de grabuge on l’a sauté, y’a pas un endroit pour nous dans le centre, c’est bête, j’viens faire du sport avec le sentiment de cambrioler, bon passons, place à l’équipe, on s’tient face à face avec Kamel en équipe, ma chaussure mord la sienne en premier, à moi de choisir, un instant à réfléchir, j’prends Samir c’est l’meilleur dans les bouaybes (?), balle au pied c’est un tueur; Kamel le sait, déjà il pleure, à ma montre 7 heures le temps des braves, c’est parti on s’dispute déjà pour une touche, le ton est grave, Abdu espère, derrière tiennent la baraque mais on s’prend quand même 2, 3 buts à l’arrache, j’aime pas perdre, on est à la boure et si on en reste là, demain c’est chauffage dans la cour, alors on mord le cuir, ces soirs se suivent, au bord les filles en délire s’tordent et sont mortes de rire, dernière minute, Enzo joue contre moi et plante du droit le super but de la victoire. Sur l’chemin du retour j’ai la rage, on a perdu même avec Samir dans les cages. Enzo me sort des mensonges, y m’dit tu veux un oui, j’dis oui, puis j’lui souris, tu sais la défaite, j’la remets sur le tapis, demain un nouveau jour avec la même équipe, j’le laisse chez lui, j’ai la nuit pour penser, c’est sûr quoi qu’il arrive la prochaine on va gagner!!!
[Refrain]
Amitié, respect, street football
Debout d’vant l’porche, j’attends mes potes, coupe-vent et survêt, épaule contre la porte mais qu’est-ce qu’y font? C’est déjà 6 heures, moi là j’donne pas cher du sirop sorti du freezer, 20 minutes après ils arrivent, ça a fondu, j’en ai bu la moitié, ces larrons ont du retard, j’aurai pu la garder c’est vrai j’en ai marre comme de l’amener, trop de poires tous les soirs, ça va, on va pas en faire une affaire, c’est qui qu’ a amené le ballon?, toi Enzo? non, c’est ton frère Pétard, ça t’remet de ramener le nouveau, il est neuf, y craint le goudron mais faut bien qu’y s’use un jour ce foutu ballon, nous c’est la rue, lui a connu qu’l’armoire, l’étagère et les carreaux du *****, on râle pas, nous fait pas ta crise, j’m’excuse, tiens allez j’te paye un Mister Freeze, un menthe citron et cak cola, tout est pardonné, j’ai droit à une belle accolade, au fait j’crois qu’ce sont des gens, on dirait les mecs d’en bas, j’espère qu’ils l’ont gardé car si ceux du marché l’ont pris, ça va barder, c’est pourquoi j’dis tous le temps faut pas tarder! Ah c’est bon, j’vois personne avec eux, on sort, on presse le pas, on montre de quel bois on s’chauffe!....
[Refrain] :
Entre 4 vestes, 2 haies de buissons déferle un flot de pression
Chaque partie porte son lot de frissons
Partage, fair play, street football
Tous parés pour la compétition, symbole d’une génération, c’qui nous lie, plaisir et passion
Amitié, respect, street football
On arrive donc sur le terrain de hand du lycée, la grille était fermée, comme d’hab, sans faire de grabuge on l’a sauté, y’a pas un endroit pour nous dans le centre, c’est bête, j’viens faire du sport avec le sentiment de cambrioler, bon passons, place à l’équipe, on s’tient face à face avec Kamel en équipe, ma chaussure mord la sienne en premier, à moi de choisir, un instant à réfléchir, j’prends Samir c’est l’meilleur dans les bouaybes (?), balle au pied c’est un tueur; Kamel le sait, déjà il pleure, à ma montre 7 heures le temps des braves, c’est parti on s’dispute déjà pour une touche, le ton est grave, Abdu espère, derrière tiennent la baraque mais on s’prend quand même 2, 3 buts à l’arrache, j’aime pas perdre, on est à la boure et si on en reste là, demain c’est chauffage dans la cour, alors on mord le cuir, ces soirs se suivent, au bord les filles en délire s’tordent et sont mortes de rire, dernière minute, Enzo joue contre moi et plante du droit le super but de la victoire. Sur l’chemin du retour j’ai la rage, on a perdu même avec Samir dans les cages. Enzo me sort des mensonges, y m’dit tu veux un oui, j’dis oui, puis j’lui souris, tu sais la défaite, j’la remets sur le tapis, demain un nouveau jour avec la même équipe, j’le laisse chez lui, j’ai la nuit pour penser, c’est sûr quoi qu’il arrive la prochaine on va gagner!!!
[Refrain]