Les paroles de la chanson
« Flore »
Andréel
Flore, je suis venu en ton royaume
Par trop de rêves désiré
Oser d’implorer ta beauté
Tu ne m’as tendu comme l’aumône
Qu’un air de servant chevalier
Cher confident de tes pensées
Car je n’avais point lu
La fin du conte, et celle
Que l’on a raconté
A mes jeunes années
Etait lors bien si belle
Je devais t’embrasser
Mais je crains que ma mère
Ne m’ait un jour trompé
Flore, j’ai parcouru, sur ton épaule
Des regrets hivernaux épinglés
Au revers de mon oreiller
Tu ne l’as pas su, mais tout l’arôme
Tendre et fidèle de mes pensées
N’avait d’yeux que pour t’embrasser
Car je n’avais point cru
La fin du conte telle
Que nous l’ont ressassée
Nos livres d’écoliers
Elle était bien trop laide
Je voulais m’évader
Mais je crains que les hommes
Ne m’aient fait prisonnier
Flore, le temps n’est plus, mais je fredonne
L’air d’un rêve dissipé
Tes charmes m’auraient enchanté
Je erre le monde fuyant les hommes
Ne rimant plus de tes beautés
Qu’en haut d’un arbre, si haut perché
Je ne lirai jamais
La fin du conte est celle
D’une feuille arrachée
De la page tournée
De nos vaines querelles
A présent du passé
Que la nature est belle
Surtout avant l’été
Par trop de rêves désiré
Oser d’implorer ta beauté
Tu ne m’as tendu comme l’aumône
Qu’un air de servant chevalier
Cher confident de tes pensées
Car je n’avais point lu
La fin du conte, et celle
Que l’on a raconté
A mes jeunes années
Etait lors bien si belle
Je devais t’embrasser
Mais je crains que ma mère
Ne m’ait un jour trompé
Flore, j’ai parcouru, sur ton épaule
Des regrets hivernaux épinglés
Au revers de mon oreiller
Tu ne l’as pas su, mais tout l’arôme
Tendre et fidèle de mes pensées
N’avait d’yeux que pour t’embrasser
Car je n’avais point cru
La fin du conte telle
Que nous l’ont ressassée
Nos livres d’écoliers
Elle était bien trop laide
Je voulais m’évader
Mais je crains que les hommes
Ne m’aient fait prisonnier
Flore, le temps n’est plus, mais je fredonne
L’air d’un rêve dissipé
Tes charmes m’auraient enchanté
Je erre le monde fuyant les hommes
Ne rimant plus de tes beautés
Qu’en haut d’un arbre, si haut perché
Je ne lirai jamais
La fin du conte est celle
D’une feuille arrachée
De la page tournée
De nos vaines querelles
A présent du passé
Que la nature est belle
Surtout avant l’été