Les paroles de la chanson
« Flamme à lunettes »
Dionysos
J’ai perdue mes lunettes, enfin j’ai pas voulue les mettre
Elles me font une drôle de tête, une tête de flamme,
A lunettes.
Oh petite allumette, c’est dangereux d’être coquette,
Au point de n’en faire qu’à sa tête quand ça peut vous coûter les yeux.
Je me fous d’y voir flous je n’ai pas besoin de lunettes pour embrasser et chanter j’préfère garder les yeux fermés.
Oh mon petit incendie laissez-moi croquer vos habits
Les déchiqueter à belles dents, les recracher en confettis
Pour vous embrassez sous une pluie...
De confettis?
Oui, allons-y!
Je n’y vois que du feu
En quelques pas seulement je peut me perdre au loin
Si loin dans ma rue,
Et même sue je n’ose plus regarder le soleil,
Ni regarder le ciel droit dans les yeux
Je n’y vois que du feu
Je vous guiderai à l’extérieur de votre tête
Je serai votre paire de lunettes
Vous seriez mon allumette
Il me faut vous faire un aveu,
Je vous entend mais je n’pourrais,
Jamais vous reconnaître même assis entre deux petits vieux.
On s’frottera, l’un contre l’être à s’en faire, cramer le squelette
Et à l’horloge de mon coeur, à minuit pile on prendra feu
Pas même besoin d’ouvrir les yeux
Je sais, je suis une flamme de tête mais quand la musique s’arrête, j’ai du mal à rouvrir les yeux
Je m’enflamme allumette mes paupières brûlent de mille feux
A en écraser mes lunettes, sans penser à rouvrir les yeux
Elle danse comme un oiseau en équilibre sur ses petits talons aiguilles
Ses pieds commences à s’emmêler, son joli nez vient de s’écraser...
Sur le pavé
Je me fracasse la tête contre les arbres dont les feuilles bleues,
Semblent plantés dans les cieux.
Ils sont ce que l’on confond le mieux, avec les cieux
C’est merveilleux, les arbres bleus.
Je n’y vois que du feu
En quelques pas seulement je peut me perdre au loin
Si loin dans ma rue,
Et même sue je n’ose plus regarder le soleil,
Ni regarder le ciel droit dans les yeux
Je n’y vois que du feu.
Elles me font une drôle de tête, une tête de flamme,
A lunettes.
Oh petite allumette, c’est dangereux d’être coquette,
Au point de n’en faire qu’à sa tête quand ça peut vous coûter les yeux.
Je me fous d’y voir flous je n’ai pas besoin de lunettes pour embrasser et chanter j’préfère garder les yeux fermés.
Oh mon petit incendie laissez-moi croquer vos habits
Les déchiqueter à belles dents, les recracher en confettis
Pour vous embrassez sous une pluie...
De confettis?
Oui, allons-y!
Je n’y vois que du feu
En quelques pas seulement je peut me perdre au loin
Si loin dans ma rue,
Et même sue je n’ose plus regarder le soleil,
Ni regarder le ciel droit dans les yeux
Je n’y vois que du feu
Je vous guiderai à l’extérieur de votre tête
Je serai votre paire de lunettes
Vous seriez mon allumette
Il me faut vous faire un aveu,
Je vous entend mais je n’pourrais,
Jamais vous reconnaître même assis entre deux petits vieux.
On s’frottera, l’un contre l’être à s’en faire, cramer le squelette
Et à l’horloge de mon coeur, à minuit pile on prendra feu
Pas même besoin d’ouvrir les yeux
Je sais, je suis une flamme de tête mais quand la musique s’arrête, j’ai du mal à rouvrir les yeux
Je m’enflamme allumette mes paupières brûlent de mille feux
A en écraser mes lunettes, sans penser à rouvrir les yeux
Elle danse comme un oiseau en équilibre sur ses petits talons aiguilles
Ses pieds commences à s’emmêler, son joli nez vient de s’écraser...
Sur le pavé
Je me fracasse la tête contre les arbres dont les feuilles bleues,
Semblent plantés dans les cieux.
Ils sont ce que l’on confond le mieux, avec les cieux
C’est merveilleux, les arbres bleus.
Je n’y vois que du feu
En quelques pas seulement je peut me perdre au loin
Si loin dans ma rue,
Et même sue je n’ose plus regarder le soleil,
Ni regarder le ciel droit dans les yeux
Je n’y vois que du feu.