Les paroles de la chanson
« Flamenco pour maria »
Jean-Pierre Ferland
Je l’ai gagnée une nuit aux cartes
Valet de cœur remporte les trèfles
Il faisait sombre, c’était la nuit
Et dans ma chambre je l’ai conduite
Et j’ai prié que le soleil tire le bandeau de la nuit
Au rythme lent de son réveil, elle me fasse enfin voir Maria
Ay! Un œil, deux yeux
Ay! Un rose, un bleu
Ay! Un œil rose et l’autre ay!
Ay! Des jambes affreuses
Ay! La fièvre aphteuse
Ay! Et la poitrine en djigedaille
Qui veut jouer Maria aux cartes?
Qui veut gagner Maria, l’amour a sa carte?
Mais je la gagne, toujours et plus
Que même quand je triche, la chance me tue!
Et j’ai prié que le soleil prenne cent années de vacances
Pour ne plus voir à mon réveil, le triste produit de ma chance
Ay! Un œil, deux yeux
Ay! Un rose, un bleu
Ay! Un œil rose et l’autre ay!
Ay! Des jambes affreuses
Ay! La fièvre aphteuse
Ay! Et la poitrine en djigedaille
Puis un beau jour, lassé d’être sage
N’en pouvant plus supporter d’avantage
Dans une foule, je l’ai menée
Entre la foule, je l’ai laissée
Et j’ai couru à perdre haleine
Loin de la foule et de Marie
J’ai bu et j’ai tenté ma veine
J’ai bu et j’ai joué aux cartes
J’ai bu, j’ai gagné, regagné
Gagné, regagné, Maria!
Ay! Ay! Ay! Olé!
Valet de cœur remporte les trèfles
Il faisait sombre, c’était la nuit
Et dans ma chambre je l’ai conduite
Et j’ai prié que le soleil tire le bandeau de la nuit
Au rythme lent de son réveil, elle me fasse enfin voir Maria
Ay! Un œil, deux yeux
Ay! Un rose, un bleu
Ay! Un œil rose et l’autre ay!
Ay! Des jambes affreuses
Ay! La fièvre aphteuse
Ay! Et la poitrine en djigedaille
Qui veut jouer Maria aux cartes?
Qui veut gagner Maria, l’amour a sa carte?
Mais je la gagne, toujours et plus
Que même quand je triche, la chance me tue!
Et j’ai prié que le soleil prenne cent années de vacances
Pour ne plus voir à mon réveil, le triste produit de ma chance
Ay! Un œil, deux yeux
Ay! Un rose, un bleu
Ay! Un œil rose et l’autre ay!
Ay! Des jambes affreuses
Ay! La fièvre aphteuse
Ay! Et la poitrine en djigedaille
Puis un beau jour, lassé d’être sage
N’en pouvant plus supporter d’avantage
Dans une foule, je l’ai menée
Entre la foule, je l’ai laissée
Et j’ai couru à perdre haleine
Loin de la foule et de Marie
J’ai bu et j’ai tenté ma veine
J’ai bu et j’ai joué aux cartes
J’ai bu, j’ai gagné, regagné
Gagné, regagné, Maria!
Ay! Ay! Ay! Olé!