Les paroles de la chanson
« Finir mal »
Oreslan
Finir mal (x8)
Y’avait mes affaires sur le palier près d’un mot sur la porte :
"Récupère déjà la moitié, j’enverrai l’autre par La Poste"
Alors j’ai sonné jusqu’à choper des cloques aux bouts des doigts
Après deux heures j’abandonnais l’espoir de rentrer chez moi
Habiter dans la chambre chez tes parents
Quand t’as dépassé la barre de tes 24 ans
Donne vite le sentiment que la vie se répète
les vieux posters sur les murs crient "défaite"
Mon père a des tonnes de nouvelles réflexions
Bien évidemment ma mère pose des questions
J’donne des versions en ma faveur
Devant mes potes j’sors mon grand jeu d’acteur
Mais tout seul j’me laisse aller dans l’malheur
Tout seul je comprends sa vraie valeur
Je téléphone, j’envoie des messages tous les quarts d’heure
Mauvais numéro, je voulais brûler l’opérateur
"Le téléphone de votre correspondant..."
J’te jure je t’aime, j’veux qu’tu m’reviennes, j’veux qu’tu m’reprennes
Juste une deuxième chance
L’ignorance est l’une des pires souffrances
J’me voyais beaucoup plus fort que ça, mais qu’est-ce que j’branle
Y’a des millions de femmes sur Terre, mais c’est à elle que j’pense
J’pensais l’oublier facilement pourtant elle me hante
J’pensais que j’assumerais mes conneries, mais elle me manque
Finir mal (x5)
Dis moi quelques mots, c’est la seul chose que j’demande
Dis moi que tu vas m’envoyer tes frères me briser les deux jambes
Insulte moi, dis moi que ma mère aurait mieux fait d’avorter
Dis moi que j’suis le pire des enculés que la Terre ait jamais porté
Pourquoi c’est pas comme d’habitude,
On s’engueule, elle m’crache à la figure
J’lui retourne le crâne en trois minutes
Les draps nous consolent à chaque dispute
La zapper c’est trop tôt, tous les chemins dans mes pensées m’ramène à elle
Chaque vieille photo de nous deux fait l’effet d’un mauvais rappel
Pourquoi tous les bons souvenirs n’étaient pas là quand je goutais les plaisirs charnels
Pourquoi tous les bons souvenirs m’empêchaient pas d’assouvir mes envies malsaines
Tous les matins sont pires que la veille
Seul depuis des mois aucun appel
Mais j’savais que j’allais perdre ce jeu
Comme si j’en avais marre d’être heureux
J’me voyais beaucoup plus fort que ça, mais qu’est-ce que j’branle
Y’a des millions de femmes sur Terre, mais c’est à elle que j’pense
J’pensais l’oublier facilement pourtant elle me hante
J’pensais que j’assumerais mes conneries, mais elle me manque
Finir mal (x5)
Et j’erre sans but comme un p’tit autiste
L’air triste, seul face à la nature comme Bear Grylls
J’tease, j’passe les même disques en boucle
Ces vieilles chansons d’amour qui parlent de vivre en couple
Dépité, déprimé, déchiré, j’suis dans le tambour de la machine, lessivé
Les neurones complétement grillés, vrillés
J’regarde les bouteilles s’empiler, j’remplis des cendriers
Des jours entiers, tourmenté les yeux fixés sur le plafond
Laisse moi tout changer, j’ai compris la leçon
J’tourne en rond, j’tourne en rond, j’tourne en rond
Je m’enfonce complètement
J’donnerais tout ce que j’ai contre une machine à remonter le temps
J’me voyais beaucoup plus fort que ça, mais qu’est-ce que j’branle
Y’a des millions de femmes sur Terre, mais c’est à elle que j’pense
J’pensais l’oublier facilement pourtant elle me hante
J’pensais que j’assumerais mes conneries, mais elle me manque
Finir mal (x9)
Y’avait mes affaires sur le palier près d’un mot sur la porte :
"Récupère déjà la moitié, j’enverrai l’autre par La Poste"
Alors j’ai sonné jusqu’à choper des cloques aux bouts des doigts
Après deux heures j’abandonnais l’espoir de rentrer chez moi
Habiter dans la chambre chez tes parents
Quand t’as dépassé la barre de tes 24 ans
Donne vite le sentiment que la vie se répète
les vieux posters sur les murs crient "défaite"
Mon père a des tonnes de nouvelles réflexions
Bien évidemment ma mère pose des questions
J’donne des versions en ma faveur
Devant mes potes j’sors mon grand jeu d’acteur
Mais tout seul j’me laisse aller dans l’malheur
Tout seul je comprends sa vraie valeur
Je téléphone, j’envoie des messages tous les quarts d’heure
Mauvais numéro, je voulais brûler l’opérateur
"Le téléphone de votre correspondant..."
J’te jure je t’aime, j’veux qu’tu m’reviennes, j’veux qu’tu m’reprennes
Juste une deuxième chance
L’ignorance est l’une des pires souffrances
J’me voyais beaucoup plus fort que ça, mais qu’est-ce que j’branle
Y’a des millions de femmes sur Terre, mais c’est à elle que j’pense
J’pensais l’oublier facilement pourtant elle me hante
J’pensais que j’assumerais mes conneries, mais elle me manque
Finir mal (x5)
Dis moi quelques mots, c’est la seul chose que j’demande
Dis moi que tu vas m’envoyer tes frères me briser les deux jambes
Insulte moi, dis moi que ma mère aurait mieux fait d’avorter
Dis moi que j’suis le pire des enculés que la Terre ait jamais porté
Pourquoi c’est pas comme d’habitude,
On s’engueule, elle m’crache à la figure
J’lui retourne le crâne en trois minutes
Les draps nous consolent à chaque dispute
La zapper c’est trop tôt, tous les chemins dans mes pensées m’ramène à elle
Chaque vieille photo de nous deux fait l’effet d’un mauvais rappel
Pourquoi tous les bons souvenirs n’étaient pas là quand je goutais les plaisirs charnels
Pourquoi tous les bons souvenirs m’empêchaient pas d’assouvir mes envies malsaines
Tous les matins sont pires que la veille
Seul depuis des mois aucun appel
Mais j’savais que j’allais perdre ce jeu
Comme si j’en avais marre d’être heureux
J’me voyais beaucoup plus fort que ça, mais qu’est-ce que j’branle
Y’a des millions de femmes sur Terre, mais c’est à elle que j’pense
J’pensais l’oublier facilement pourtant elle me hante
J’pensais que j’assumerais mes conneries, mais elle me manque
Finir mal (x5)
Et j’erre sans but comme un p’tit autiste
L’air triste, seul face à la nature comme Bear Grylls
J’tease, j’passe les même disques en boucle
Ces vieilles chansons d’amour qui parlent de vivre en couple
Dépité, déprimé, déchiré, j’suis dans le tambour de la machine, lessivé
Les neurones complétement grillés, vrillés
J’regarde les bouteilles s’empiler, j’remplis des cendriers
Des jours entiers, tourmenté les yeux fixés sur le plafond
Laisse moi tout changer, j’ai compris la leçon
J’tourne en rond, j’tourne en rond, j’tourne en rond
Je m’enfonce complètement
J’donnerais tout ce que j’ai contre une machine à remonter le temps
J’me voyais beaucoup plus fort que ça, mais qu’est-ce que j’branle
Y’a des millions de femmes sur Terre, mais c’est à elle que j’pense
J’pensais l’oublier facilement pourtant elle me hante
J’pensais que j’assumerais mes conneries, mais elle me manque
Finir mal (x9)