Les paroles de la chanson
« Finir mal »
Orelsan
Finir mal
Finir mal mal…
Y avait mes affaires sur le pallier près d’un mot sur la porte :
« Récupère déjà la moitié, j’enverrai l’autre par La Poste »
Alors j’ai sonné jusqu’à choper des cloques aux bouts des doigts
Après deux heures j’abandonnais l’espoir de rentrer chez moi
Habiter dans la chambre chez tes parents
Quand t’as dépassé la barre de tes 24 ans
Donne vite le sentiment que la vie se répète
Les poster sur les murs crient : « défaite »
Mon père a des tonnes de nouvelles réflexions
Bien évidemment ma mère pose des questions
Je donne des versions en ma faveur
Devant mes potes je sors mon grand jeu d’acteur
Mais tout seul je me laisse aller dans le malheur
Tout seul je comprends sa vrai valeur
Je téléphone, j’envoie des messages tous les quarts d’heure
Mauvais numéro, je voulais brûler l’opérateur
« Ce numéro téléphone… »
Je te jure je t’aime, je veux que tu me reviennes, je veux que tu me reprennes
Juste une deuxième chance, l’ignorance est l’une des pires souffrance
Je me voyais beaucoup plus fort que ça, mais qu’est-ce que je branle
Y a des millions de femmes sur Terre, mais c’est à elle que je pense
Je pensais l’oublier facilement pourtant elle me hante
Je pensais que j’assumerai mes conneries, mais elle me manque
Finir mal
Finir mal mal…
Dis-moi quelques mots, c’est la seule chose que je demande
Dis-moi que tu vas m’envoyer tes frères me briser les deux jambes
Insultes-moi, dis-moi que ma mère aurait mieux fait d’avorter
Dis-moi que je suis le pire des enculés que la Terre ait jamais porté
Pourquoi c’est pas comme d’habitude?
On s’engueule elle me crache à la figure
Je lui retourne le crâne en 3 minutes
Les draps nous consolent après chaque dispute
La zapper c’est trop tôt, tous les chemins dans mes pensées me ramènent à elle
Chaque vielle photo de nous deux me fait l’effet d’un mauvais rappel
Pourquoi tous les bons souvenirs n’étaient pas là quand je goutais les plaisirs charnels
Pourquoi tous les bons souvenirs ne m’empêchaient pas d’assouvir mes envies malsaines
Tous les matins sont pires que la veille
Seul depuis des mois aucun appel
Mais je savais que j’allais perdre ce jeu
Comme si j’en avais marre d’être heureux
Je me voyais beaucoup plus fort que ça, mais qu’est-ce que je branle
Y a des millions de femmes sur Terre, mais c’est à elle que je pense
Je pensais l’oublier facilement pourtant elle me hante
Je pensais que j’assumerai mes conneries, mais elle me manque
Finir mal
Finir mal mal…
J’erre sans but comme un petit autiste
L’air triste, seul face à la Nature comme Bear Grylls
Je tease, je passe les même disques en boucle
Ces vielles chansons d’amour qui parlent de vivre en couple
Dépité, déprimé, chh, déchiré, je suis dans le tambour de la machine, lessivé
Les neurones complétement grillés, vrillés
Je regarde les bouteilles s’empiler, je remplie des cendriers
Des jours entiers, tourmenté les yeux fixés sur le plafond
Laisse moi tout changer, j’ai compris la leçon
Je tourne en rond, je tourne en rond, je tourne en rond
Je m’enfonce complètement
Je donnerai tout ce que j’ai contre une machine à remonter le temps
Je me voyais beaucoup plus fort que ça, mais qu’est-ce que je branle
Y a des millions de femmes sur Terre, mais c’est à elle que je pense
Je pensais l’oublier facilement pourtant elle me hante
Je pensais que j’assumerai mes conneries, mais elle me manque
Finir mal
Finir mal mal…
Finir mal mal…
Y avait mes affaires sur le pallier près d’un mot sur la porte :
« Récupère déjà la moitié, j’enverrai l’autre par La Poste »
Alors j’ai sonné jusqu’à choper des cloques aux bouts des doigts
Après deux heures j’abandonnais l’espoir de rentrer chez moi
Habiter dans la chambre chez tes parents
Quand t’as dépassé la barre de tes 24 ans
Donne vite le sentiment que la vie se répète
Les poster sur les murs crient : « défaite »
Mon père a des tonnes de nouvelles réflexions
Bien évidemment ma mère pose des questions
Je donne des versions en ma faveur
Devant mes potes je sors mon grand jeu d’acteur
Mais tout seul je me laisse aller dans le malheur
Tout seul je comprends sa vrai valeur
Je téléphone, j’envoie des messages tous les quarts d’heure
Mauvais numéro, je voulais brûler l’opérateur
« Ce numéro téléphone… »
Je te jure je t’aime, je veux que tu me reviennes, je veux que tu me reprennes
Juste une deuxième chance, l’ignorance est l’une des pires souffrance
Je me voyais beaucoup plus fort que ça, mais qu’est-ce que je branle
Y a des millions de femmes sur Terre, mais c’est à elle que je pense
Je pensais l’oublier facilement pourtant elle me hante
Je pensais que j’assumerai mes conneries, mais elle me manque
Finir mal
Finir mal mal…
Dis-moi quelques mots, c’est la seule chose que je demande
Dis-moi que tu vas m’envoyer tes frères me briser les deux jambes
Insultes-moi, dis-moi que ma mère aurait mieux fait d’avorter
Dis-moi que je suis le pire des enculés que la Terre ait jamais porté
Pourquoi c’est pas comme d’habitude?
On s’engueule elle me crache à la figure
Je lui retourne le crâne en 3 minutes
Les draps nous consolent après chaque dispute
La zapper c’est trop tôt, tous les chemins dans mes pensées me ramènent à elle
Chaque vielle photo de nous deux me fait l’effet d’un mauvais rappel
Pourquoi tous les bons souvenirs n’étaient pas là quand je goutais les plaisirs charnels
Pourquoi tous les bons souvenirs ne m’empêchaient pas d’assouvir mes envies malsaines
Tous les matins sont pires que la veille
Seul depuis des mois aucun appel
Mais je savais que j’allais perdre ce jeu
Comme si j’en avais marre d’être heureux
Je me voyais beaucoup plus fort que ça, mais qu’est-ce que je branle
Y a des millions de femmes sur Terre, mais c’est à elle que je pense
Je pensais l’oublier facilement pourtant elle me hante
Je pensais que j’assumerai mes conneries, mais elle me manque
Finir mal
Finir mal mal…
J’erre sans but comme un petit autiste
L’air triste, seul face à la Nature comme Bear Grylls
Je tease, je passe les même disques en boucle
Ces vielles chansons d’amour qui parlent de vivre en couple
Dépité, déprimé, chh, déchiré, je suis dans le tambour de la machine, lessivé
Les neurones complétement grillés, vrillés
Je regarde les bouteilles s’empiler, je remplie des cendriers
Des jours entiers, tourmenté les yeux fixés sur le plafond
Laisse moi tout changer, j’ai compris la leçon
Je tourne en rond, je tourne en rond, je tourne en rond
Je m’enfonce complètement
Je donnerai tout ce que j’ai contre une machine à remonter le temps
Je me voyais beaucoup plus fort que ça, mais qu’est-ce que je branle
Y a des millions de femmes sur Terre, mais c’est à elle que je pense
Je pensais l’oublier facilement pourtant elle me hante
Je pensais que j’assumerai mes conneries, mais elle me manque
Finir mal
Finir mal mal…