Les paroles de la chanson
« Filles de joie »
Renaud
J’veux vous parler des filles qu’on dit filles de joie
Celles qui fourmillent pas toujours où l’on croit
Pas toujours aux trottoirs de la périphérie
Ou pour quelques dollars elles se donnent à l’envie
J’en ai croisé pas mal dans les rues de mon métier
Top model à dix balles, strip-teaseuses recyclées
Dans tout les lieux branchés, celles-la sont légions
Poupées siliconées, dévorées d’ambition
Ces pétasses pullulent à la télévision
Sur les chaines les plus nulles, les plateaux les plus cons
J’veux vous parler des filles qu’on dit filles de joie
Celles qui fourmillent pas toujours où l’on croit
Ne sont pas toutes là, soumises à des proxos
Ne sont pas toutes esclaves, accrochées à l’héro
Si d’pigalle à Hambourg, elles sont des millions
A tarifer l’amour, qu’elles le veuillent ou non
Le plus vieux métier du monde marche pas mal aussi
Chez les boudins immondes, d’la télé-réality
Montrent sous les projos, leur QI, surtout cul
On les appellent bimbos, seraient mieux dans la rue
Je veux parler des filles qu’on dit filles de joie
Celles qui fourmillent pas toujours où l’on croit
J’en ai vu forniquer, érotisme d’outre-tombe
Dans des piscines filmées par TF1 l’immonde
Quel panard de se donner, se vendre pour être exacte
A Mougeotte et Le Lay, qui offrent le spectacle
J’en ai vu peupler leurs chansons insipides
Dans des radio-crochet, à mise à mort sordide
Pauvres filles, triste sort, pitoyables et ringardes
Exploitées par des porcs, matées par des vicelards
Je veux parler des filles qu’on dit filles de joie
Celles qui fourmillent pas toujours où l’on croit
Dans tout les magazines elles posent à demi-nue
Je gerbe sur leurs strings, qu’elles offrent aux tordus
Pour le moindre casting, elles vendraient leur mère
Exhibent leur poitrine, pour cacher leur misère
Je hais ces midinettes et leur rêve couillon
Faire bander la planète, sous de tristes néons
Elles font leur boulot, elles gagnent leur pain
Le plus souvent sur le dos, comme de pauvres tapins
J’voulais parler des filles qu’on dit filles de joie
Celles qui fourmillent pas toujours où l’on croit (bis)
Pas toujours où l’on croit
Pas toujours où l’on croit
Celles qui fourmillent pas toujours où l’on croit
Pas toujours aux trottoirs de la périphérie
Ou pour quelques dollars elles se donnent à l’envie
J’en ai croisé pas mal dans les rues de mon métier
Top model à dix balles, strip-teaseuses recyclées
Dans tout les lieux branchés, celles-la sont légions
Poupées siliconées, dévorées d’ambition
Ces pétasses pullulent à la télévision
Sur les chaines les plus nulles, les plateaux les plus cons
J’veux vous parler des filles qu’on dit filles de joie
Celles qui fourmillent pas toujours où l’on croit
Ne sont pas toutes là, soumises à des proxos
Ne sont pas toutes esclaves, accrochées à l’héro
Si d’pigalle à Hambourg, elles sont des millions
A tarifer l’amour, qu’elles le veuillent ou non
Le plus vieux métier du monde marche pas mal aussi
Chez les boudins immondes, d’la télé-réality
Montrent sous les projos, leur QI, surtout cul
On les appellent bimbos, seraient mieux dans la rue
Je veux parler des filles qu’on dit filles de joie
Celles qui fourmillent pas toujours où l’on croit
J’en ai vu forniquer, érotisme d’outre-tombe
Dans des piscines filmées par TF1 l’immonde
Quel panard de se donner, se vendre pour être exacte
A Mougeotte et Le Lay, qui offrent le spectacle
J’en ai vu peupler leurs chansons insipides
Dans des radio-crochet, à mise à mort sordide
Pauvres filles, triste sort, pitoyables et ringardes
Exploitées par des porcs, matées par des vicelards
Je veux parler des filles qu’on dit filles de joie
Celles qui fourmillent pas toujours où l’on croit
Dans tout les magazines elles posent à demi-nue
Je gerbe sur leurs strings, qu’elles offrent aux tordus
Pour le moindre casting, elles vendraient leur mère
Exhibent leur poitrine, pour cacher leur misère
Je hais ces midinettes et leur rêve couillon
Faire bander la planète, sous de tristes néons
Elles font leur boulot, elles gagnent leur pain
Le plus souvent sur le dos, comme de pauvres tapins
J’voulais parler des filles qu’on dit filles de joie
Celles qui fourmillent pas toujours où l’on croit (bis)
Pas toujours où l’on croit
Pas toujours où l’on croit