Les paroles de la chanson
« Fille du soleil »
Cindy (Cendrillon)
Candela:
Là-bas, loin de cuba
Te souviens-tu de mes bras
De nos nuits de délire
Dans ce pays de l’interdit
Et ce désir
Qui nous brûlait si fort
Habite-t-il encore dans ton corps
Ou m’as-tu chassée
De tes pensées
Moi fille du soleil
Toi qui venais du pays de la pluie
Pas même une chance
Sur un million
Quelque part au monde
Qu’un jour nos deux vie se rencontrent
Moi fille de la mer
Et toi qui passais ta vie dans les airs
Pas même une chance
Sur cent millions
Quelque part sur terre
Q’un jour nos chemins se confondent
Les rues de la havane
Solitaires, sans lumières
Des filles qui se pavanent
Autour d’un triste lampadaire
Au milieu d’elles
Mon sourire t’interpelle
Je te poursuis
À travers les ruelles
Et je te suis
À ton hôtel
Enfant de la rue
Tu m’as cueillie comme un fruit défendu
Quand tu as aperçu
Du sang sur les draps
J’ai vu des larmes dans ton regard
Enfant de la misère
Moi qui voulais te donner mon amour
Toi qui venais aller-retour
Tu n’m’as jamais dit
Viens je t’emmène et je t’offre une autre vie
Une autre vie
Dans ce pays de l’interdit
C’était prédit qu’on se sépare
Moi fille du soleil
Toi qui venait du pays de la pluie
Pas même une chance sur un milliard
Qu’un jour nos chemins se confondent
Nos corps ne dansent pas la même danse
Moi fille du Sud, toi l’homme du Nord
C’était prédit qu’on se sépare.
Là-bas, loin de cuba
Te souviens-tu de mes bras
De nos nuits de délire
Dans ce pays de l’interdit
Et ce désir
Qui nous brûlait si fort
Habite-t-il encore dans ton corps
Ou m’as-tu chassée
De tes pensées
Moi fille du soleil
Toi qui venais du pays de la pluie
Pas même une chance
Sur un million
Quelque part au monde
Qu’un jour nos deux vie se rencontrent
Moi fille de la mer
Et toi qui passais ta vie dans les airs
Pas même une chance
Sur cent millions
Quelque part sur terre
Q’un jour nos chemins se confondent
Les rues de la havane
Solitaires, sans lumières
Des filles qui se pavanent
Autour d’un triste lampadaire
Au milieu d’elles
Mon sourire t’interpelle
Je te poursuis
À travers les ruelles
Et je te suis
À ton hôtel
Enfant de la rue
Tu m’as cueillie comme un fruit défendu
Quand tu as aperçu
Du sang sur les draps
J’ai vu des larmes dans ton regard
Enfant de la misère
Moi qui voulais te donner mon amour
Toi qui venais aller-retour
Tu n’m’as jamais dit
Viens je t’emmène et je t’offre une autre vie
Une autre vie
Dans ce pays de l’interdit
C’était prédit qu’on se sépare
Moi fille du soleil
Toi qui venait du pays de la pluie
Pas même une chance sur un milliard
Qu’un jour nos chemins se confondent
Nos corps ne dansent pas la même danse
Moi fille du Sud, toi l’homme du Nord
C’était prédit qu’on se sépare.