Les paroles de la chanson
« Fille du feu »
Julien Clerc
Elle a des yeux comme une ville en flammes
La voix des violons de Bohême
Ses cheveux d’algues et de fleurs qui se fanent
Inondent son châle de laine
Elle vient d’un monde nomade et son âme
Chemine sur les grandes plaines
Je voudrais tant suivre sa caravane
Courir dans le sang de ses veines
Fille du feu, ma tzigane
Noire sur le fond bleu des gitanes
Oh, fille du feu, ma tzigane
Les soirs d’été, quand les bûchers s’enflamment
Du côté des Saintes-Maries
Des mains d’argent qui nous viennent d’Espagne
Font danser la mer et la nuit
Les bras tendus vers les pâles étoiles
Elle chante sur le sable gris
Le vent marin qui soulève ses voiles
Emporte sa plainte et ses cris
Elle est d’un peuple qu’on chasse ou qu’on parque
Dans des terrains vagues ou des camps
Il n’est pas bon de voyager sans carte
Sur les grandes ailes du vent
Fille du feu, ma tzigane
Noire sur le fond bleu des gitanes
Oh, fille du feu, ma tzigane
Elle a des yeux comme une ville en flammes
La voix du cristal de Bohême
La voix des violons de Bohême
Ses cheveux d’algues et de fleurs qui se fanent
Inondent son châle de laine
Elle vient d’un monde nomade et son âme
Chemine sur les grandes plaines
Je voudrais tant suivre sa caravane
Courir dans le sang de ses veines
Fille du feu, ma tzigane
Noire sur le fond bleu des gitanes
Oh, fille du feu, ma tzigane
Les soirs d’été, quand les bûchers s’enflamment
Du côté des Saintes-Maries
Des mains d’argent qui nous viennent d’Espagne
Font danser la mer et la nuit
Les bras tendus vers les pâles étoiles
Elle chante sur le sable gris
Le vent marin qui soulève ses voiles
Emporte sa plainte et ses cris
Elle est d’un peuple qu’on chasse ou qu’on parque
Dans des terrains vagues ou des camps
Il n’est pas bon de voyager sans carte
Sur les grandes ailes du vent
Fille du feu, ma tzigane
Noire sur le fond bleu des gitanes
Oh, fille du feu, ma tzigane
Elle a des yeux comme une ville en flammes
La voix du cristal de Bohême