Les paroles de la chanson
« Faut plus me la faire »
Valérie Lagrange
Je suis allée au nord, je suis allée au sud
Je suis allée à l’est, je suis allée à l’ouest
Je suis allée si bas, que j’pensais plus r’monter
Je suis allée si haut, que j’pensais plus r’tomber
J’ai vu des gens si riches qui n’savaient plus donner
J’ai vu des gens si pauvres qui n’savaient que donner
J’ai cru des gens si bons qui me voulaient du mal
Et d’autres si méchants qui me voulaient du bien
J’ai vécu des moments où je m’croyais la reine
Et d’autres où j’étais moins que moins que rien
Des moments où j’croyais avoir tout compris
Et le matin suivant ne plus comprendre rien
Des moments où j’’voudrais bien ne plus exister
Mais ce qui est certain... Faut plus me la faire!
Oh vous qui m’écoutez ou qui n’m’écoutez pas
La vie est souffrance, qui l’a rendue comme ça?
Entendez le cri déchirant du nouveau né
Refusant de quitter l’extase et l’innocence de l’éternité
De l’éternité, eh eh eh
J’ai vu des gens promettre des monts et merveilles
Avec un cœur si dur comme un vieux tas de pierres
Et d’autres qui jamais ne m’avaient rien promis
Qui m’ont offert la grâce qui purifie
J’ai vu des gens se prendre tellement au sérieux
Qui ne sont que des pitres aux yeux de l’infini
Et d’autres qui sont pris pour des simples d’esprit
Qui sont les vrais seigneurs dans ce monde pourri
Faut plus me la faire!
Je suis allée à l’est, je suis allée à l’ouest
Je suis allée si bas, que j’pensais plus r’monter
Je suis allée si haut, que j’pensais plus r’tomber
J’ai vu des gens si riches qui n’savaient plus donner
J’ai vu des gens si pauvres qui n’savaient que donner
J’ai cru des gens si bons qui me voulaient du mal
Et d’autres si méchants qui me voulaient du bien
J’ai vécu des moments où je m’croyais la reine
Et d’autres où j’étais moins que moins que rien
Des moments où j’croyais avoir tout compris
Et le matin suivant ne plus comprendre rien
Des moments où j’’voudrais bien ne plus exister
Mais ce qui est certain... Faut plus me la faire!
Oh vous qui m’écoutez ou qui n’m’écoutez pas
La vie est souffrance, qui l’a rendue comme ça?
Entendez le cri déchirant du nouveau né
Refusant de quitter l’extase et l’innocence de l’éternité
De l’éternité, eh eh eh
J’ai vu des gens promettre des monts et merveilles
Avec un cœur si dur comme un vieux tas de pierres
Et d’autres qui jamais ne m’avaient rien promis
Qui m’ont offert la grâce qui purifie
J’ai vu des gens se prendre tellement au sérieux
Qui ne sont que des pitres aux yeux de l’infini
Et d’autres qui sont pris pour des simples d’esprit
Qui sont les vrais seigneurs dans ce monde pourri
Faut plus me la faire!