Les paroles de la chanson
« Fanny sur le port »
Michèle Torr
D’un café rouge et vert dans le quartier du port
Chaque jour je t’écris - mais rien que dans ma tête
Puisque je ne sais pas où te poster mes lettres
Et si de ton côté tu m’oublies? je l’ignore...
Mes larmes ont la douceur salée de nos baisers
Quand on se retrouvait là-bas dans les calanques
Je regarde le soleil doucement s’en aller
Un peu plus chaque jour, mon amour, tu me manques
{Refrain:}
Je pense encore, encore
A ta bouche à ton corps
A ta peau sur la mienne
A tes mains qui me tiennent
A tes bras tes épaules
Quand le bonheur nous frôle
Où es-tu à cette heure?
Se demande mon cœur
Idiot, qui ne sait pas
Combien je meurs de toi
Au bout de l’océan
Je t’aime et je t’attends
Ton père va et vient, il est comme d’habitude
Il bougonne à son bar il me trouve bien pâle
Ton prénom est présent dans nos deux solitudes
Et chacun de nous deux sent bien que l’autre a mal
Mais toi sur ce trois mâts lourd de bois des Antilles
Et de camphre et de poivre, où tu rejoins tes rêves
As-tu perdu de vue, naviguant d’îles en filles
Nos soirs de grand secret et le goût de mes lèvres?
{au Refrain}
Je regarde là-bas du côté de la mer
Et ne vois que les jours qui succèdent aux jours
Je ne pense qu’à toi et j’enroule pour toi
Ton prénom de tout plein de croix
Et je signe "Fanny"
Ta Femme...
Chaque jour je t’écris - mais rien que dans ma tête
Puisque je ne sais pas où te poster mes lettres
Et si de ton côté tu m’oublies? je l’ignore...
Mes larmes ont la douceur salée de nos baisers
Quand on se retrouvait là-bas dans les calanques
Je regarde le soleil doucement s’en aller
Un peu plus chaque jour, mon amour, tu me manques
{Refrain:}
Je pense encore, encore
A ta bouche à ton corps
A ta peau sur la mienne
A tes mains qui me tiennent
A tes bras tes épaules
Quand le bonheur nous frôle
Où es-tu à cette heure?
Se demande mon cœur
Idiot, qui ne sait pas
Combien je meurs de toi
Au bout de l’océan
Je t’aime et je t’attends
Ton père va et vient, il est comme d’habitude
Il bougonne à son bar il me trouve bien pâle
Ton prénom est présent dans nos deux solitudes
Et chacun de nous deux sent bien que l’autre a mal
Mais toi sur ce trois mâts lourd de bois des Antilles
Et de camphre et de poivre, où tu rejoins tes rêves
As-tu perdu de vue, naviguant d’îles en filles
Nos soirs de grand secret et le goût de mes lèvres?
{au Refrain}
Je regarde là-bas du côté de la mer
Et ne vois que les jours qui succèdent aux jours
Je ne pense qu’à toi et j’enroule pour toi
Ton prénom de tout plein de croix
Et je signe "Fanny"
Ta Femme...