Les paroles de la chanson
« Fandango »
William Sheller
Ma mémoire ne m’est pas toujours fidèle.
C’est là son ordinaire à ce qu’on dit,
Aussi ne soyez pas surpris
Si quelquefois lorsqu’on en vient à parler d’elle,
Il m’arrive d’oublier comme aujourd’hui
Qu’elle était cruelle.
Comprenez mon excuse : elle est facile.
J’ai dansé par le monde et sans répit
Une argentine de comédie
Pour éveiller quelque passion d’après-midi
Sur les parquets des thés dansants où l’on s’ennuie
Quelque part en ville.
Fandango,
Je pourrai presque croire que je l’oublie,
Fandango,
Tous les mensonges sont permis,
Fandango,
Le temps d’un thé qui refroidit.
Excusez-moi je vous retiens peut-être.
Je suis un peu bavard aujourd’hui
Mais si elle passe par ici
Dites-lui bien que je ne me soucie plus d’elle,
Dites-lui bien que j’en suis tout à fait sorti
Aux dernières nouvelles.
Fandango,
Je pourrai presque croire que je l’oublie,
Fandango,
Tous les mensonges sont permis,
Fandango,
Le temps d’un thé qui refroidit,
Fandango,
Jeux de miroirs et jeux d’ennuis.
C’est là son ordinaire à ce qu’on dit,
Aussi ne soyez pas surpris
Si quelquefois lorsqu’on en vient à parler d’elle,
Il m’arrive d’oublier comme aujourd’hui
Qu’elle était cruelle.
Comprenez mon excuse : elle est facile.
J’ai dansé par le monde et sans répit
Une argentine de comédie
Pour éveiller quelque passion d’après-midi
Sur les parquets des thés dansants où l’on s’ennuie
Quelque part en ville.
Fandango,
Je pourrai presque croire que je l’oublie,
Fandango,
Tous les mensonges sont permis,
Fandango,
Le temps d’un thé qui refroidit.
Excusez-moi je vous retiens peut-être.
Je suis un peu bavard aujourd’hui
Mais si elle passe par ici
Dites-lui bien que je ne me soucie plus d’elle,
Dites-lui bien que j’en suis tout à fait sorti
Aux dernières nouvelles.
Fandango,
Je pourrai presque croire que je l’oublie,
Fandango,
Tous les mensonges sont permis,
Fandango,
Le temps d’un thé qui refroidit,
Fandango,
Jeux de miroirs et jeux d’ennuis.