Les paroles de la chanson
« Fait divers »
Téléphone
Elle avait à peine avalé ses quinze ans
Qui d’ailleurs lui restaient coincés dedans
Elle avait grandi arrosée par l’argent
On pousse vite chez ce genre de gens
Elle s’appelait Fait Divers
une fleur fanée en plein hiver
Oh les dents sont plus dures que la chair
Tu sais ici ont n’aime que la pierre
Oh oh oh
Oh oh oh sauve toi
Elle avait les manières du grand monde
Devant sa télé fait le tour du monde
Mais son univers était un petit monde
Où se battaient tous les chagrins du monde
Elle causait plus à ses parents, non
Depuis une sombre histoire d’amant
Son père gueulait à sa mère " Tu
mens! "
Pendant qu’eux s’cognaient fort elle criait " Maman! "
Elle s’appelait Fait Divers
Dieu que cette fille était solitaire
Oh, les dents sont plus dures que la chair
Tu sais ici on n’aime que la pierre
Elle avait à peine avalé ses quinze ans
qui d’ailleurs lui restaient coincés dedans
Qu’elle avala une boite de tranquillisants
Juste histoire de tuer le temps
Et en suivant son enterrement
Les gens ne comprenaient pas vraiment
Qu’ils avaient tué cet enfant
Au fond d’eux enterré depuis longtemps
Tuer l’enfant, tu es l’enfant
Tuer l’enfant qu’on a dedans
C’est ça l’auto-avortement
Reste le môme perdu comme avant
Dans le ventre d’un bon moment
Qui d’ailleurs lui restaient coincés dedans
Elle avait grandi arrosée par l’argent
On pousse vite chez ce genre de gens
Elle s’appelait Fait Divers
une fleur fanée en plein hiver
Oh les dents sont plus dures que la chair
Tu sais ici ont n’aime que la pierre
Oh oh oh
Oh oh oh sauve toi
Elle avait les manières du grand monde
Devant sa télé fait le tour du monde
Mais son univers était un petit monde
Où se battaient tous les chagrins du monde
Elle causait plus à ses parents, non
Depuis une sombre histoire d’amant
Son père gueulait à sa mère " Tu
mens! "
Pendant qu’eux s’cognaient fort elle criait " Maman! "
Elle s’appelait Fait Divers
Dieu que cette fille était solitaire
Oh, les dents sont plus dures que la chair
Tu sais ici on n’aime que la pierre
Elle avait à peine avalé ses quinze ans
qui d’ailleurs lui restaient coincés dedans
Qu’elle avala une boite de tranquillisants
Juste histoire de tuer le temps
Et en suivant son enterrement
Les gens ne comprenaient pas vraiment
Qu’ils avaient tué cet enfant
Au fond d’eux enterré depuis longtemps
Tuer l’enfant, tu es l’enfant
Tuer l’enfant qu’on a dedans
C’est ça l’auto-avortement
Reste le môme perdu comme avant
Dans le ventre d’un bon moment