Les paroles de la chanson
« Face à face »
Lââm
Les jours passent et se ressemblent
De moins en moins nous ressemblent et
Je m’souviens de ces heures passées à délirer
Bien plus qu’une amie j’avais trouvé
Une sœur de cœur en vérité
Je n’comprends pas que si vite tout se soit brisé
Maintenant, tu dis de moi des choses ici et là
Le mensonge ne t’étouffe pas et tout le monde te croit
J’ai si honte pour toi et si mal en moi
Que faudrait-il que je fasse pour stopper tout ça
{Refrain:}
Dis-moi si tu veux des mots qui blessent
Mais face à face réglons cash nos dilemmes
Face à face abordons tous les thèmes
Sois franche avec moi c’est tout
Au fond de moi je sais que tu sais
Ressens la même envie d’effacer
Ces conneries, ces plans gratuits qu’on s’est payés
Pourquoi le vent tourne-t-il si souvent
Je veux voir la vie comme une enfant
Ce différend ne nous rend pas plus différentes
Repense aux bancs d’école et nos nombreuses idoles
Les premiers amours loupés, les larmes qu’on essuyait
Tant d’années passées, de complicité
Je refuse de croire alors qu’on puisse se détester
{au Refrain}
De moins en moins nous ressemblent et
Je m’souviens de ces heures passées à délirer
Bien plus qu’une amie j’avais trouvé
Une sœur de cœur en vérité
Je n’comprends pas que si vite tout se soit brisé
Maintenant, tu dis de moi des choses ici et là
Le mensonge ne t’étouffe pas et tout le monde te croit
J’ai si honte pour toi et si mal en moi
Que faudrait-il que je fasse pour stopper tout ça
{Refrain:}
Dis-moi si tu veux des mots qui blessent
Mais face à face réglons cash nos dilemmes
Face à face abordons tous les thèmes
Sois franche avec moi c’est tout
Au fond de moi je sais que tu sais
Ressens la même envie d’effacer
Ces conneries, ces plans gratuits qu’on s’est payés
Pourquoi le vent tourne-t-il si souvent
Je veux voir la vie comme une enfant
Ce différend ne nous rend pas plus différentes
Repense aux bancs d’école et nos nombreuses idoles
Les premiers amours loupés, les larmes qu’on essuyait
Tant d’années passées, de complicité
Je refuse de croire alors qu’on puisse se détester
{au Refrain}