Les paroles de la chanson
« Etc. »
Yves Jamait
Il faudrait que j’arrête de ne pas faire de sport
Que je fasse une escale dans mes vagabondages
Je me donne trop en spectacle, il faut qu’ je fasse relâche
Et que je coupe enfin ce poil que j’ai dans la main
Il faudrait que je cesse de boire plus que convenu
Que je tienne mes promesses sans qu’elles ne se diluent
Dans le rouge attrayant de ce vin délectable
Qui réduit à néant mon côté respectable
Il faudrait que j’arrête de trousser la fée verte
Qui ne me transformera jamais en poète
Et les pensées profondes dans lesquelles je me noie
Je devrais les cerner avec un regard froid
{Refrain:}
Et je remets au lendemain ce que j’ai pas su faire hier
Et je vais feignant l’effort, je ne peux pas dire que j’en sois fier
A chaque jour suffit sa peine
Etc.
Faut-il être un peu con pour vivre sans la mode
Et ostensiblement en ignorer les codes?
A partir de bientôt, en bon consommateur,
Je ferai de toutes marques la base de mes valeurs
Je tire sur le mégot trop souvent, je l’avoue
Aux croisés du tabac qui se soucient de nous
Je prends une bouffée, une pensée m’effleure
"Les couloirs de la mort seront-ils non-fumeurs?"
{au Refrain}
Pour être un vrai winner, un battant, un killer
Il faudrait que j’ me lève aux aurores, comme une fleur
La nuit portant conseil, je la suis jusqu’à tard
Et quand je me réveille, je suis déjà en r’ tard
Le temps sale mes tempes et tend à me prouver
Que j’ vais mourir, c’est sûr, d’arrêter d’ respirer
J’ai beau me dire que vivre c’est mourir quand même
J’ai du mal quant à la perspective du chrysanthème
{au Refrain, ad lib}
Que je fasse une escale dans mes vagabondages
Je me donne trop en spectacle, il faut qu’ je fasse relâche
Et que je coupe enfin ce poil que j’ai dans la main
Il faudrait que je cesse de boire plus que convenu
Que je tienne mes promesses sans qu’elles ne se diluent
Dans le rouge attrayant de ce vin délectable
Qui réduit à néant mon côté respectable
Il faudrait que j’arrête de trousser la fée verte
Qui ne me transformera jamais en poète
Et les pensées profondes dans lesquelles je me noie
Je devrais les cerner avec un regard froid
{Refrain:}
Et je remets au lendemain ce que j’ai pas su faire hier
Et je vais feignant l’effort, je ne peux pas dire que j’en sois fier
A chaque jour suffit sa peine
Etc.
Faut-il être un peu con pour vivre sans la mode
Et ostensiblement en ignorer les codes?
A partir de bientôt, en bon consommateur,
Je ferai de toutes marques la base de mes valeurs
Je tire sur le mégot trop souvent, je l’avoue
Aux croisés du tabac qui se soucient de nous
Je prends une bouffée, une pensée m’effleure
"Les couloirs de la mort seront-ils non-fumeurs?"
{au Refrain}
Pour être un vrai winner, un battant, un killer
Il faudrait que j’ me lève aux aurores, comme une fleur
La nuit portant conseil, je la suis jusqu’à tard
Et quand je me réveille, je suis déjà en r’ tard
Le temps sale mes tempes et tend à me prouver
Que j’ vais mourir, c’est sûr, d’arrêter d’ respirer
J’ai beau me dire que vivre c’est mourir quand même
J’ai du mal quant à la perspective du chrysanthème
{au Refrain, ad lib}