Les paroles de la chanson
« Et vive les pioupious »
Chantal Goya
J’ai retrouvé chez mon grand-père
Dans une malle au fond du grenier
Cet uniforme que naguère
Portaient les comiques troupiers
Sur le vieux phono de mon grand-père
Un soixante-dix-huit tours usé
Chantait cette chanson d’avant-guerre
Que je vais vous interpréter :
Et vive les Pioupious, Pioupious
Les toulourou rou rou rou rou
Qui sont dans les godasses, dass, dass
De l’ami bidasse, de l’ami bidasse
Et vive les comique, mic, mic
Qui ont des tics, tics, tics, tics, tics
Et cassent les pieds, pieds, pieds, pieds
De l’adjudant du quartier
- Soldat Boulard, vous me ferez huit jours
- Pourquoi donc mon adjudant?
- Et puis vous me balayerez la cour
- Et pour quel motif, à présent?
A pris son chef pour un dindon
Et l’autre soir soudain sortait
De la caserne à reculons
Pour lui faire croire qu’il y rentrait
Et vive les Pioupious, Pioupious
Les toulourou rou rou rou rou
Qui sont dans les godasses, dass, dass
De l’ami bidasse, de l’ami bidasse
Et vive les comique, mic, mic
Qui ont des tics, tics, tics, tics, tics
Et cassent les pieds, pieds, pieds, pieds
De l’adjudant du quartier
En souvenir de nos grands-pères
Aujourd’hui il nous faut chanter
Cette chanson qu’avant la guerre
Chantaient les comiques troupiers
Si elle fait pleurer nos grands-mères
En souvenir du temps passé
Où elles aimaient un militaire
Reprenons comme au défilé :
Et vive les Pioupious, Pioupious
Les toulourou rou rou rou rou
Qui sont dans les godasses, dass, dass
De l’ami bidasse, de l’ami bidasse
Et vive les comique, mic, mic
Qui ont des tics, tics, tics, tics, tics
Et cassent les pieds, pieds, pieds, pieds
De l’adjudant du quartier
Et vive les Pioupious, Pioupious
Les toulourou rou rou rou rou
Qui sont dans les godasses, dass, dass
De l’ami bidasse, de l’ami bidasse
Et vive les comique, mic, mic
Qui ont des tics, tics, tics, tics, tics
Et cassent les pieds, pieds, pieds, pieds
De l’adjudant du quartier
Dans une malle au fond du grenier
Cet uniforme que naguère
Portaient les comiques troupiers
Sur le vieux phono de mon grand-père
Un soixante-dix-huit tours usé
Chantait cette chanson d’avant-guerre
Que je vais vous interpréter :
Et vive les Pioupious, Pioupious
Les toulourou rou rou rou rou
Qui sont dans les godasses, dass, dass
De l’ami bidasse, de l’ami bidasse
Et vive les comique, mic, mic
Qui ont des tics, tics, tics, tics, tics
Et cassent les pieds, pieds, pieds, pieds
De l’adjudant du quartier
- Soldat Boulard, vous me ferez huit jours
- Pourquoi donc mon adjudant?
- Et puis vous me balayerez la cour
- Et pour quel motif, à présent?
A pris son chef pour un dindon
Et l’autre soir soudain sortait
De la caserne à reculons
Pour lui faire croire qu’il y rentrait
Et vive les Pioupious, Pioupious
Les toulourou rou rou rou rou
Qui sont dans les godasses, dass, dass
De l’ami bidasse, de l’ami bidasse
Et vive les comique, mic, mic
Qui ont des tics, tics, tics, tics, tics
Et cassent les pieds, pieds, pieds, pieds
De l’adjudant du quartier
En souvenir de nos grands-pères
Aujourd’hui il nous faut chanter
Cette chanson qu’avant la guerre
Chantaient les comiques troupiers
Si elle fait pleurer nos grands-mères
En souvenir du temps passé
Où elles aimaient un militaire
Reprenons comme au défilé :
Et vive les Pioupious, Pioupious
Les toulourou rou rou rou rou
Qui sont dans les godasses, dass, dass
De l’ami bidasse, de l’ami bidasse
Et vive les comique, mic, mic
Qui ont des tics, tics, tics, tics, tics
Et cassent les pieds, pieds, pieds, pieds
De l’adjudant du quartier
Et vive les Pioupious, Pioupious
Les toulourou rou rou rou rou
Qui sont dans les godasses, dass, dass
De l’ami bidasse, de l’ami bidasse
Et vive les comique, mic, mic
Qui ont des tics, tics, tics, tics, tics
Et cassent les pieds, pieds, pieds, pieds
De l’adjudant du quartier