Les paroles de la chanson
« Envie d'écrire »
Stefan Luan
J’avais envie d’écrire te dire ce que j’étais
De mes nuits a mourir de mes jours sans sourire
Des instants de silence au instant de bonheur
De ces heures où l’on pense de tout ce qu’ils ont peur
J’ai relu toutes les lettres et juste avant le feu
Les flammes dans la tempête au couleurs de l’aveu
Comme une cathédrale portait si haut nos sentiments
Il va dans mes entrailles comme un soulagement
Et plus j’écris plus je repense
Aux larmes de celle qui m’attire
Mes yeux ce coincent en ton absence
Dans tout ce que j’ai dans ma vie
Déchirer tes sourires par des matous glacés
En milieu de soupire d’amour et de regrets
Pour l’enfant qui courait jusque dans nos pensées
J’aurai du lui mentir je n’entend plus son rire
De terrains amarrés à moments déchaînés
De cascades en rivières de nos chemin de pierre
Des orages dans ton lit oui quand tes mains dessinaient
Sur ma peau de folie des envies de poupées
Refrain
Je hais les souvenirs étalés sur les murs
Le meilleur et le pire laissaient sur les serrures
Lorsqu’il est dans ton lit et tu crois toujours que j’ai mal
Mais je tuerai celui qui te feras du mal
Et plus j’écris plus je repense
Aux larmes de celle qui m’attire
Mes yeux ce coincent en ton absence
Dans tout ce que j’ai dans ma vie
Dans tout ce que j’ai dans ma vie
Dans tout ce que j’ai dans ma vie
De mes nuits a mourir de mes jours sans sourire
Des instants de silence au instant de bonheur
De ces heures où l’on pense de tout ce qu’ils ont peur
J’ai relu toutes les lettres et juste avant le feu
Les flammes dans la tempête au couleurs de l’aveu
Comme une cathédrale portait si haut nos sentiments
Il va dans mes entrailles comme un soulagement
Et plus j’écris plus je repense
Aux larmes de celle qui m’attire
Mes yeux ce coincent en ton absence
Dans tout ce que j’ai dans ma vie
Déchirer tes sourires par des matous glacés
En milieu de soupire d’amour et de regrets
Pour l’enfant qui courait jusque dans nos pensées
J’aurai du lui mentir je n’entend plus son rire
De terrains amarrés à moments déchaînés
De cascades en rivières de nos chemin de pierre
Des orages dans ton lit oui quand tes mains dessinaient
Sur ma peau de folie des envies de poupées
Refrain
Je hais les souvenirs étalés sur les murs
Le meilleur et le pire laissaient sur les serrures
Lorsqu’il est dans ton lit et tu crois toujours que j’ai mal
Mais je tuerai celui qui te feras du mal
Et plus j’écris plus je repense
Aux larmes de celle qui m’attire
Mes yeux ce coincent en ton absence
Dans tout ce que j’ai dans ma vie
Dans tout ce que j’ai dans ma vie
Dans tout ce que j’ai dans ma vie