Les paroles de la chanson
« Entre mon nord et ton midi »
Raoul De Godewarsvelde
J’aime pas ton pays avec ses guinguettes,
Tes frites et ton ciel, où toujours il pleut
J’aime pas ton Midi, dis donc ma fillette,
Ton mal du pays et ton beau ciel bleu
J’préfère mes collines d’Angleterre,
Ma Mer du Nord, mon Cap Gris-Nez,
J’préfère mes vagues et mes galets,
Qui sont ma Méditerranée.
{Refrain:}
Mais qu’importent vraiment nos deux pays,
Puisqu’on s’aime, puisqu’on s’aime
Qu’importent vraiment nos deux pays,
Entre ton Nord et mon Midi.
J’aime pas ton pays, son accent qui peine,
Qui a la couleur des mines de charbon
J’aime pas ton Midi son accent qui traîne,
Ou qui éclate comme une bombe au plafond
J’préfère ma bière, ma p’tite friture
Et mes bétises de Cambrai
J’préfère mes raisins et mes mûres,
Mes fleurs d’azur et mes bleuets.
{au Refrain}
Mais si tu parlais de tout autre chose
Que de mon pays et de ton ciel gris
Je pourrais peut-être en vers ou en prose,
Te compter fleurette un après-midi.
J’préfère tes yeux au bleu si rare
Et tes blue-jeans un peu rapés
Moi je préfère ta voix suave
Qui est comme un disque rayé.
{au Refrain}
Qu’importent vraiment nos deux pays,
Puisqu’on s’aime, puisqu’on s’aime
Qu’importent vraiment nos deux pays,
Puisqu’on s’aime, puisqu’on s’aime à Paris.
Lalala...
Tes frites et ton ciel, où toujours il pleut
J’aime pas ton Midi, dis donc ma fillette,
Ton mal du pays et ton beau ciel bleu
J’préfère mes collines d’Angleterre,
Ma Mer du Nord, mon Cap Gris-Nez,
J’préfère mes vagues et mes galets,
Qui sont ma Méditerranée.
{Refrain:}
Mais qu’importent vraiment nos deux pays,
Puisqu’on s’aime, puisqu’on s’aime
Qu’importent vraiment nos deux pays,
Entre ton Nord et mon Midi.
J’aime pas ton pays, son accent qui peine,
Qui a la couleur des mines de charbon
J’aime pas ton Midi son accent qui traîne,
Ou qui éclate comme une bombe au plafond
J’préfère ma bière, ma p’tite friture
Et mes bétises de Cambrai
J’préfère mes raisins et mes mûres,
Mes fleurs d’azur et mes bleuets.
{au Refrain}
Mais si tu parlais de tout autre chose
Que de mon pays et de ton ciel gris
Je pourrais peut-être en vers ou en prose,
Te compter fleurette un après-midi.
J’préfère tes yeux au bleu si rare
Et tes blue-jeans un peu rapés
Moi je préfère ta voix suave
Qui est comme un disque rayé.
{au Refrain}
Qu’importent vraiment nos deux pays,
Puisqu’on s’aime, puisqu’on s’aime
Qu’importent vraiment nos deux pays,
Puisqu’on s’aime, puisqu’on s’aime à Paris.
Lalala...