Les paroles de la chanson
« Entre l'espagne et l'italie »
Jean Bertola
Le géographe était pris de folie,
Quand il imagina de tendre,
Tout juste entre l’Espagne et l’Italie,
Ma carte du Tendre.
{Refrain:}
Avec moi Cupidon se surmène.
Dans mon cœur d’artichaut il piqua
Deux flèches : l’une au nom de Carmen,
La seconde au nom de Francesca.
Les soirs de bal, j’enlace tour à tour,
Je fais danser chacune d’elles :
Un pied pour la séguedille, un pied pour
La gaie tarentelle.
{Refrain}
Sans guère songer à ce que demain
Le coquin de sort me destine,
J’avance en tenant ferme à chaque main
Mes deux sœurs latines.
{Refrain}
Si jamais l’une d’ell’s un jour apprend
Qu’elle n’est pas tout à fait seule,
J’ai plus qu’à courir chez le tisserand
Choisir un linceul.
{Refrain}
On me verrait pris dans cette hypothèse
Entre deux mégères ardentes,
Entre deux feux : l’enfer de Cervantès
Et l’enfer de Dante!
{Refrain}
Devant la faucheuse s’il faut plus tard,
Pauvre de moi, que je m’incline,
Qu’on me porte en terre au son des guitares
Et des mandolines!
{Refrain}
Quand il imagina de tendre,
Tout juste entre l’Espagne et l’Italie,
Ma carte du Tendre.
{Refrain:}
Avec moi Cupidon se surmène.
Dans mon cœur d’artichaut il piqua
Deux flèches : l’une au nom de Carmen,
La seconde au nom de Francesca.
Les soirs de bal, j’enlace tour à tour,
Je fais danser chacune d’elles :
Un pied pour la séguedille, un pied pour
La gaie tarentelle.
{Refrain}
Sans guère songer à ce que demain
Le coquin de sort me destine,
J’avance en tenant ferme à chaque main
Mes deux sœurs latines.
{Refrain}
Si jamais l’une d’ell’s un jour apprend
Qu’elle n’est pas tout à fait seule,
J’ai plus qu’à courir chez le tisserand
Choisir un linceul.
{Refrain}
On me verrait pris dans cette hypothèse
Entre deux mégères ardentes,
Entre deux feux : l’enfer de Cervantès
Et l’enfer de Dante!
{Refrain}
Devant la faucheuse s’il faut plus tard,
Pauvre de moi, que je m’incline,
Qu’on me porte en terre au son des guitares
Et des mandolines!
{Refrain}