Les paroles de la chanson
« Enième tentative »
Sexion D'assaut
[Intro]
Si la population immigrée musulmane ne cessait d’augmenter dans notre pays, nous serions un jour obligés de marcher, de baisser les yeux et des descendre des trottoirs, comme on le fait déjà dans de nombreuses villes de France
[Couplet 1 : Adams Diallo]
Originaire d’une terre foutanguaise, où personne fouille ton corps
Là où les coups t’encaisses, malgré ça eux t’en foutent encore
Depuis tout p’tit j’rêve de passer sur grand écran
J’ai pris une grosse claque quand j’ai su quel est l’cran des grands
Avant à l’école c’était "Adams le pique-assiette"
Maintenant c’est artiste genre Picasso avec la p’tite casquette
J’suis pas un gueur-ta, gueule quoi, tu veux la guerre toi?
Comment? Commence pas à m’raconter t’es d’quel coin!
J’vais pas t’mentir, te dire qu’j’suis muni d’six balles
J’suis pas hardcore mais j’nique la police municipale
J’marche dans l’boulevard, et soudain j’vois un tas d’vil-ci
J’me fais âgé, et sur ma tête y’a la calvitie
Nique l’industrie, les mecs du style Justin
Les mecs juste ils s’durcissent 5 minutes pour 10 sous
Nique leur justice, leur principe part en chute libre
Mes parents subissent, leur estime fait l’parachutiste
[Refrain x2]
Wallah c’est chaud, malgré qu’le climat est frisquet
Malgré qu’c’est faux, la matrice nous a attristé
Blindés d’défauts, on est zen mais parfois crispés
Fallait qu’j’héberge les fafs, pour étaler notre tristesse
[Couplet 2]
Si dans ta ville y’en a ils bavent sur ma région, on sourit pas
Dis-leurs qu’ils partent, tous on une âme, les surhommes on les surnomme
On fixe le but: tous sur l’Iman (Souleyman), assurément tu souris man
Assis sur l’banc jamais je chiale à m’demander "pourquoi j’suis àl?"
Moi j’crains le feu, étrangement flamme, enlève le L et ça donne femme
Enlève le F et ca donne lame, inverse les lettres et ça fait mal
Combien comptes-tu de chienne de vie déambulant rue Saint-Denis?
J’en compte 300, nombre croissant, qui agonisent et s’donnent au vice
Les ptits d’la rue sont impolis, jouent les goss-bo comme Apollon
Pètent le gros lot pour la Polo, cherchent pas d’boulot car c’est trop long
Les ancêtres sont pas colons, et cette image devient collante
La fin du monde, Coran commande, c’est la piété qu’on recommande
Ça fait 30 ans qu’on le corrompt, annonce aux cons, beaucoup d’courroux
Beaucoup d’tourments, beaucoup d’coups rudes, ça s’ra trop long, on sra tous nuls
Tu veux savoir, j’vie dans l’espoir qu’un jour tout le monde puisse vouloir croire
Qu’un jour tout le monde puisse pouvoir craindre celui qui voit même dans le noir
[Refrain x2]
Wallah c’est chaud, malgré qu’le climat est frisquet
Malgré qu’c’est faux, la matrice nous a attristé
Blindés d’défauts, on est zen mais parfois crispés
Fallait qu’j’héberge les fafs, pour étaler notre tristesse
[Couplet 3 : Adams Diallo]
Le jour de l’an c’est une disquette, j’mate 100 minutes de bonheur
Bonnes résolutions, mon cul! Y’a pas d’taff, on a la peau noire
Souvenirs, lorsque j’sens l’odeur d’la lessive
C’était l’époque où j’me demandais : pourquoi on les laisse ivres?
Les pauvres, hein? Pourquoi on les estime peu?
J’me dit qu’c’est la fin vu qu’on a vécu les signes
Triste Europe, lorsque j’vois confessions intimes
La France est prise de reup : la foi est la profession d’un type
Il est Imam et fâce à Dieu, veut être un type digne
En gros un spectateur de moins aux conneries tah le Bigdil
En plein Châtelet, j’vois un mort ivre là
Ça m’fait pas rire, comme M6 et l’morning live
J’ai la tristesse d’un cain-ri sortant d’Gorée
Si les colons pensent qui nous l’ont mise, sache qu’ils se sont pas gourrés
La mort c’est vrai, comme Skyrock 1er sur les travs
Moi c’est A.D., d’la sexion ceux qui sont 1er sur l’estrade
[refrain x3]
Wallah c’est chaud, malgré qu’le climat est frisquet
Malgré qu’c’est faux, la matrice nous a attristé
Blindés d’défauts, on est zen mais parfois crispés
Fallait qu’j’héberge les fafs, pour étaler notre tristesse
Si la population immigrée musulmane ne cessait d’augmenter dans notre pays, nous serions un jour obligés de marcher, de baisser les yeux et des descendre des trottoirs, comme on le fait déjà dans de nombreuses villes de France
[Couplet 1 : Adams Diallo]
Originaire d’une terre foutanguaise, où personne fouille ton corps
Là où les coups t’encaisses, malgré ça eux t’en foutent encore
Depuis tout p’tit j’rêve de passer sur grand écran
J’ai pris une grosse claque quand j’ai su quel est l’cran des grands
Avant à l’école c’était "Adams le pique-assiette"
Maintenant c’est artiste genre Picasso avec la p’tite casquette
J’suis pas un gueur-ta, gueule quoi, tu veux la guerre toi?
Comment? Commence pas à m’raconter t’es d’quel coin!
J’vais pas t’mentir, te dire qu’j’suis muni d’six balles
J’suis pas hardcore mais j’nique la police municipale
J’marche dans l’boulevard, et soudain j’vois un tas d’vil-ci
J’me fais âgé, et sur ma tête y’a la calvitie
Nique l’industrie, les mecs du style Justin
Les mecs juste ils s’durcissent 5 minutes pour 10 sous
Nique leur justice, leur principe part en chute libre
Mes parents subissent, leur estime fait l’parachutiste
[Refrain x2]
Wallah c’est chaud, malgré qu’le climat est frisquet
Malgré qu’c’est faux, la matrice nous a attristé
Blindés d’défauts, on est zen mais parfois crispés
Fallait qu’j’héberge les fafs, pour étaler notre tristesse
[Couplet 2]
Si dans ta ville y’en a ils bavent sur ma région, on sourit pas
Dis-leurs qu’ils partent, tous on une âme, les surhommes on les surnomme
On fixe le but: tous sur l’Iman (Souleyman), assurément tu souris man
Assis sur l’banc jamais je chiale à m’demander "pourquoi j’suis àl?"
Moi j’crains le feu, étrangement flamme, enlève le L et ça donne femme
Enlève le F et ca donne lame, inverse les lettres et ça fait mal
Combien comptes-tu de chienne de vie déambulant rue Saint-Denis?
J’en compte 300, nombre croissant, qui agonisent et s’donnent au vice
Les ptits d’la rue sont impolis, jouent les goss-bo comme Apollon
Pètent le gros lot pour la Polo, cherchent pas d’boulot car c’est trop long
Les ancêtres sont pas colons, et cette image devient collante
La fin du monde, Coran commande, c’est la piété qu’on recommande
Ça fait 30 ans qu’on le corrompt, annonce aux cons, beaucoup d’courroux
Beaucoup d’tourments, beaucoup d’coups rudes, ça s’ra trop long, on sra tous nuls
Tu veux savoir, j’vie dans l’espoir qu’un jour tout le monde puisse vouloir croire
Qu’un jour tout le monde puisse pouvoir craindre celui qui voit même dans le noir
[Refrain x2]
Wallah c’est chaud, malgré qu’le climat est frisquet
Malgré qu’c’est faux, la matrice nous a attristé
Blindés d’défauts, on est zen mais parfois crispés
Fallait qu’j’héberge les fafs, pour étaler notre tristesse
[Couplet 3 : Adams Diallo]
Le jour de l’an c’est une disquette, j’mate 100 minutes de bonheur
Bonnes résolutions, mon cul! Y’a pas d’taff, on a la peau noire
Souvenirs, lorsque j’sens l’odeur d’la lessive
C’était l’époque où j’me demandais : pourquoi on les laisse ivres?
Les pauvres, hein? Pourquoi on les estime peu?
J’me dit qu’c’est la fin vu qu’on a vécu les signes
Triste Europe, lorsque j’vois confessions intimes
La France est prise de reup : la foi est la profession d’un type
Il est Imam et fâce à Dieu, veut être un type digne
En gros un spectateur de moins aux conneries tah le Bigdil
En plein Châtelet, j’vois un mort ivre là
Ça m’fait pas rire, comme M6 et l’morning live
J’ai la tristesse d’un cain-ri sortant d’Gorée
Si les colons pensent qui nous l’ont mise, sache qu’ils se sont pas gourrés
La mort c’est vrai, comme Skyrock 1er sur les travs
Moi c’est A.D., d’la sexion ceux qui sont 1er sur l’estrade
[refrain x3]
Wallah c’est chaud, malgré qu’le climat est frisquet
Malgré qu’c’est faux, la matrice nous a attristé
Blindés d’défauts, on est zen mais parfois crispés
Fallait qu’j’héberge les fafs, pour étaler notre tristesse