Les paroles de la chanson
« Enfance »
Alain Barrière
Je me souviens de la verte clairière
Où je venais lorsque j’étais enfant
Je me souviens comme chantait l’eau claire
Dans les ruisseaux qui menaient au torrent
Je me souviens, la petite cabane
Qui abritait tous mes rêves d’enfant
Je me souviens, les champs de primevères
Quand venait le printemps
Je me souviens
Je me souviens
Je me souviens, les courses solitaires
Quand le soleil montait au firmament
Je me souviens de ces traits de lumière
Dans les sous-bois juste avant le couchant
Et puis, bien sûr, la petite cabane
Attendant Marianne
Qui viendrait au printemps
Je me souviens oui, mais c’était la guerre
Tout bien pesé, je préfère à présent
Je me souviens
Je me souviens
Où je venais lorsque j’étais enfant
Je me souviens comme chantait l’eau claire
Dans les ruisseaux qui menaient au torrent
Je me souviens, la petite cabane
Qui abritait tous mes rêves d’enfant
Je me souviens, les champs de primevères
Quand venait le printemps
Je me souviens
Je me souviens
Je me souviens, les courses solitaires
Quand le soleil montait au firmament
Je me souviens de ces traits de lumière
Dans les sous-bois juste avant le couchant
Et puis, bien sûr, la petite cabane
Attendant Marianne
Qui viendrait au printemps
Je me souviens oui, mais c’était la guerre
Tout bien pesé, je préfère à présent
Je me souviens
Je me souviens