Les paroles de la chanson
« Encore une fois »
Gilbert Bécaud
Gare de Lyon le jour se lève
Moi j’ai pas fini mon rêve
Café noir douche glacée
Difficile de se réveiller
Ça me tient comme une fièvre
Ce goût de toi sur mes lèvres
Et je pense à toi encore une fois
Vite l’ascenseur la voiture
Ça démarre à toute allure
La radio joue des chansons
Je suis coincé à la Nation
Huit heures et quart fin novembre
Pourquoi on vit pas ensemble
Et je pense à toi encore une fois
Le bureau, les secrétaires
Les affreux et les affaires
Ce téléphone merveilleux
Vous avez Berlin sur la deux
C’est jamais toi qui m’appelles
"Auf wieder sehn Mademoiselle"
Et je pense à toi encore une fois
Réunion pour une campagne
On lance un nouveau champagne
Je n’ai pas lu le dossier
Marketing et publicité
Tiens à propos de champagne
Ça me donne des idées
Et je pense à toi encore une fois
Déjeuner avec la presse
Explications en vitesse
J’ai le cœur la tête ailleurs
Il n’est pas tout à fait quinze heures
Où es-tu dans cette ville
J’adore quand tu te maquilles
Et je pense à toi encore une fois
Et puis j’arrive à mon étage
Tu m’as laissé un message
Un numéro où t’appeler
Qui sonne toujours occupé
On m’appelle sur l’autre ligne
Je te rappelle impossible
J’ai besoin de toi encore une fois
Moi j’ai pas fini mon rêve
Café noir douche glacée
Difficile de se réveiller
Ça me tient comme une fièvre
Ce goût de toi sur mes lèvres
Et je pense à toi encore une fois
Vite l’ascenseur la voiture
Ça démarre à toute allure
La radio joue des chansons
Je suis coincé à la Nation
Huit heures et quart fin novembre
Pourquoi on vit pas ensemble
Et je pense à toi encore une fois
Le bureau, les secrétaires
Les affreux et les affaires
Ce téléphone merveilleux
Vous avez Berlin sur la deux
C’est jamais toi qui m’appelles
"Auf wieder sehn Mademoiselle"
Et je pense à toi encore une fois
Réunion pour une campagne
On lance un nouveau champagne
Je n’ai pas lu le dossier
Marketing et publicité
Tiens à propos de champagne
Ça me donne des idées
Et je pense à toi encore une fois
Déjeuner avec la presse
Explications en vitesse
J’ai le cœur la tête ailleurs
Il n’est pas tout à fait quinze heures
Où es-tu dans cette ville
J’adore quand tu te maquilles
Et je pense à toi encore une fois
Et puis j’arrive à mon étage
Tu m’as laissé un message
Un numéro où t’appeler
Qui sonne toujours occupé
On m’appelle sur l’autre ligne
Je te rappelle impossible
J’ai besoin de toi encore une fois