Les paroles de la chanson
« Encore »
Batlik
Dès les premiers instants de ce que sera sa vie
Dès les premières minutes et tout juste sorti
Lorsque les jambes en l’air et la tête à l’envers
On essuyait son corps en rassurant sa mère
Dès le tout premier cri, rien voulu rien choisit
On le lui a fourré dans le fond du gosier
Le bon lait qui endort et apprend à se taire
Fait oublier la mort et dormir les yeux ouverts
Pour faire se coucher une jolie môme
Berce-la de jolis mots
Pour faire se coucher un homme
Berce-le de belles sommes
Pour faire se coucher un pays
Berce-le de démocratie
Attend qu’il en redemande encore
Des berceuses et du miel pour lui qui a sommeil
Un bon grand méchant pour le mettre à genoux
D’abord gentil enfant, fidèle partisan
De toutes les églises et de tous les courant
Machine à pouvoir, à ramper et à croire
(?) aux jolis dérisoires
C’est qu’il est déjà prêt, capable de tout
Pour se gorger de lait il vivra demi fou
Pour faire se coucher une jolie môme
Berce-la de jolis mots
Pour faire se coucher un homme
Berce-le de belles sommes
Pour faire se coucher un pays
Berce-le de démocratie
Attend qu’il en redemande encore
Regarde le maintenant chercher le sens du vent
Encore les courants d’air où quelques adultes errent
Au milieu du rayon des produits alimentaires
Entouré de gens bons gerbant discours et prières
Ils dictent des mauvaises ondes sur le bout du menton
Lui fait poser la question "a-t-il choisit ou non"
Le bon sens du mauvais et son goût pour le lait
Sa vilaine peur du vide et surtout ce qu’il est
N’avoir qu’une seule vie pas voulue pas choisie
D’avoir celle à payer parce que c’est pas gratuit
La petite musique de fond qui respire la buvette
Te parle de révolution entre deux tranches de steak
Dès les premières minutes et tout juste sorti
Lorsque les jambes en l’air et la tête à l’envers
On essuyait son corps en rassurant sa mère
Dès le tout premier cri, rien voulu rien choisit
On le lui a fourré dans le fond du gosier
Le bon lait qui endort et apprend à se taire
Fait oublier la mort et dormir les yeux ouverts
Pour faire se coucher une jolie môme
Berce-la de jolis mots
Pour faire se coucher un homme
Berce-le de belles sommes
Pour faire se coucher un pays
Berce-le de démocratie
Attend qu’il en redemande encore
Des berceuses et du miel pour lui qui a sommeil
Un bon grand méchant pour le mettre à genoux
D’abord gentil enfant, fidèle partisan
De toutes les églises et de tous les courant
Machine à pouvoir, à ramper et à croire
(?) aux jolis dérisoires
C’est qu’il est déjà prêt, capable de tout
Pour se gorger de lait il vivra demi fou
Pour faire se coucher une jolie môme
Berce-la de jolis mots
Pour faire se coucher un homme
Berce-le de belles sommes
Pour faire se coucher un pays
Berce-le de démocratie
Attend qu’il en redemande encore
Regarde le maintenant chercher le sens du vent
Encore les courants d’air où quelques adultes errent
Au milieu du rayon des produits alimentaires
Entouré de gens bons gerbant discours et prières
Ils dictent des mauvaises ondes sur le bout du menton
Lui fait poser la question "a-t-il choisit ou non"
Le bon sens du mauvais et son goût pour le lait
Sa vilaine peur du vide et surtout ce qu’il est
N’avoir qu’une seule vie pas voulue pas choisie
D’avoir celle à payer parce que c’est pas gratuit
La petite musique de fond qui respire la buvette
Te parle de révolution entre deux tranches de steak