Les paroles de la chanson
« En souvenir de toi »
Charles Trenet
En souvenir de toi je vais dans la nature
Courant sur les chemins que nous avons aimés
Je te parle tout bas mais sans littérature
Pas besoin de grands mots pour savoir s’exprimer
{Refrain:}
En souvenir de toi tendrement je fredonne
Cette chanson d’amour dont le refrain si doux
Nous parlait du printemps, à présent c’est l’automne
Je me souviens de toi, je me souviens de nous
A présent l’hiver à ma porte
Frappe avec son doigt décharné
C’est la ronde des feuilles mortes
Qui dansent au jardin fané
En souvenir de toi, quand la lampe s’allume
Je revois nos instants révélés dans le noir
Quand un présent nouveau dissipe de leur brume
Le fiancé de l’aube et l’amoureux du soir
{au Refrain}
En souvenir de toi, j’imagine peut-être
Qu’un jour tu reviendras dans un pays nouveau,
Que tu m’apparaîtras au ciel de ta fenêtre
Entouré d’un décor où rien ne sera faux
Alors j’aurai toujours sur le bout de mes lèvres
Ce vieux refrain d’amour dont nos cœurs étaient fous
Au milieu du printemps qui berçait notre fièvre
Nous vivrons nos vingt ans en souvenir de nous
En souvenir de nous.
Courant sur les chemins que nous avons aimés
Je te parle tout bas mais sans littérature
Pas besoin de grands mots pour savoir s’exprimer
{Refrain:}
En souvenir de toi tendrement je fredonne
Cette chanson d’amour dont le refrain si doux
Nous parlait du printemps, à présent c’est l’automne
Je me souviens de toi, je me souviens de nous
A présent l’hiver à ma porte
Frappe avec son doigt décharné
C’est la ronde des feuilles mortes
Qui dansent au jardin fané
En souvenir de toi, quand la lampe s’allume
Je revois nos instants révélés dans le noir
Quand un présent nouveau dissipe de leur brume
Le fiancé de l’aube et l’amoureux du soir
{au Refrain}
En souvenir de toi, j’imagine peut-être
Qu’un jour tu reviendras dans un pays nouveau,
Que tu m’apparaîtras au ciel de ta fenêtre
Entouré d’un décor où rien ne sera faux
Alors j’aurai toujours sur le bout de mes lèvres
Ce vieux refrain d’amour dont nos cœurs étaient fous
Au milieu du printemps qui berçait notre fièvre
Nous vivrons nos vingt ans en souvenir de nous
En souvenir de nous.