Les paroles de la chanson
« Emmène-moi »
Marc Seberg
Leurs lèvres closes
N’osent frémir
Car le plus doux soupir
Risquerait de trahir
Leur timide présence
Alors, sans hâte, ils avancent
En se drapant de silence
Et du fond de l’oubli, quelquefois
Comme des notes de musique
Les souvenirs perdus d’autrefois
En vague mélodie
Fragiles refont surface
Mais très vite, le vent
Les ramène en Alyscamps
Les poings serrés, les yeux fermés
Ils s’enfoncent, indifférents
Encore un peu plus résignés
Insensibles, pâles et absents
Mais toi... Emmène-moi
Au-delà des mers, emmène-moi!
L’amour s’en vient, la nuit s’en va
Au-delà des terres, emmène-moi!
L’amour s’en vient, le jour est là
Loin de ceux qui se terrent
De peur d’être éblouis
Et se voilent de mystère
Dans le flou d’une vie... trouble
Un chat sauvage insouciant
A déchiré la page
Dispersé les images à tous vents
Ce n’était qu’un mirage
Dans le petit matin
Il ne restait plus rien
Qu’un parfum féminin
Les yeux fermés, les poings serrés
Ils s’enfoncent, indifférents
Encore un peu plus résignés
Insensibles, pâles et absents
Fuir!
L’amour s’en vient, la nuit s’en va
Fuir!
L’amour s’en vient, le jour est là
Au-delà des mers, autour de la Terre
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Emmène-moi! {x3}
N’osent frémir
Car le plus doux soupir
Risquerait de trahir
Leur timide présence
Alors, sans hâte, ils avancent
En se drapant de silence
Et du fond de l’oubli, quelquefois
Comme des notes de musique
Les souvenirs perdus d’autrefois
En vague mélodie
Fragiles refont surface
Mais très vite, le vent
Les ramène en Alyscamps
Les poings serrés, les yeux fermés
Ils s’enfoncent, indifférents
Encore un peu plus résignés
Insensibles, pâles et absents
Mais toi... Emmène-moi
Au-delà des mers, emmène-moi!
L’amour s’en vient, la nuit s’en va
Au-delà des terres, emmène-moi!
L’amour s’en vient, le jour est là
Loin de ceux qui se terrent
De peur d’être éblouis
Et se voilent de mystère
Dans le flou d’une vie... trouble
Un chat sauvage insouciant
A déchiré la page
Dispersé les images à tous vents
Ce n’était qu’un mirage
Dans le petit matin
Il ne restait plus rien
Qu’un parfum féminin
Les yeux fermés, les poings serrés
Ils s’enfoncent, indifférents
Encore un peu plus résignés
Insensibles, pâles et absents
Fuir!
L’amour s’en vient, la nuit s’en va
Fuir!
L’amour s’en vient, le jour est là
Au-delà des mers, autour de la Terre
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