Les paroles de la chanson
« Eloge de la tristesse »
Sanseverino
Tu vides des packs de mauvaise bière
Bercé par France-télévision
Qui t’offre ses documentaires
Sur les stations d’épuration.
Même l’été sous la canicule
T’as froid dans ton thermolactyl
Et tu pleures au milieu des bulles
De ton sushi rayé des îles.
{Refrain:}
Apprends donc à tenir ta laisse
T’es pas tout seul en manque de secours
La tristesse est la seule promesse
Que la vie tient toujours
T’as pas appris dans ton enfance
L’amour, la joie ni le bonheur,
T’as juste étudié l’arrogance
Dans l’angoisse, la honte et la peur.
Ton fax fixe un démon qui passe
A l’heure où tout devient trop clair,
Où tu contemples dans ta glace
Une certaine idée de l’enfer
{au Refrain}
Peut-être qu’un jour chez Norauto
Tu verras ta reine arriver
Au volant de la stéréo
D’un tuning-car customisé.
Mais l’amour s’use à la lumière
Et les louttes sont toutes un peu louffes
Elles te feront jouer du somnifère
Dans un H.P. avec les oufs
{au Refrain}
Peut-être qu’en smurfant sur ta folie
Tu deviendras l’idole des bas-fonds
A qui le branleux tout-Paris
Fera sa standing ovation.
Mais d’applauses en salamalecs,
De backstages en mondanités,
La réussite est un échec
Pour celui qui veut plus danser.
{au Refrain}
Bercé par France-télévision
Qui t’offre ses documentaires
Sur les stations d’épuration.
Même l’été sous la canicule
T’as froid dans ton thermolactyl
Et tu pleures au milieu des bulles
De ton sushi rayé des îles.
{Refrain:}
Apprends donc à tenir ta laisse
T’es pas tout seul en manque de secours
La tristesse est la seule promesse
Que la vie tient toujours
T’as pas appris dans ton enfance
L’amour, la joie ni le bonheur,
T’as juste étudié l’arrogance
Dans l’angoisse, la honte et la peur.
Ton fax fixe un démon qui passe
A l’heure où tout devient trop clair,
Où tu contemples dans ta glace
Une certaine idée de l’enfer
{au Refrain}
Peut-être qu’un jour chez Norauto
Tu verras ta reine arriver
Au volant de la stéréo
D’un tuning-car customisé.
Mais l’amour s’use à la lumière
Et les louttes sont toutes un peu louffes
Elles te feront jouer du somnifère
Dans un H.P. avec les oufs
{au Refrain}
Peut-être qu’en smurfant sur ta folie
Tu deviendras l’idole des bas-fonds
A qui le branleux tout-Paris
Fera sa standing ovation.
Mais d’applauses en salamalecs,
De backstages en mondanités,
La réussite est un échec
Pour celui qui veut plus danser.
{au Refrain}