Les paroles de la chanson
« Elle vit toute seule »
Michel Sardou
Elle est assise au bord du lit
Une photo d’elle et son mari
Prise en vacances, il y a des lunes
En ce temps-là elle était brune
Elle a du mal à se rappeler
Le nom d’ leur chanson préférée
Elle disait quoi? Elle ne sait plus
Les chanteurs, elle les connaît plus
Elle vit toute seule, comme elles sont des milliers
Un jour la Terre est vide, le monde inhabité
Elle passe en boucle les occasions manquées
Le goût d’ l’amour, le prix d’ l’amour
Lorsque dix ans passent en dix jours
Elle a tellement donné
La rupture a duré longtemps
À la folie, passionnément
Et puis ce brusquement plus rien
Ce cri silencieux de la fin
La rupture a duré longtemps
À la folie, passionnément
On arrive au bout de la fin
Quand le plaisir s’en est allé
Elle vit toute seule, comme elles sont des milliers
Un jour on n’a personne, personne à qui parler
Les amis sont ailleurs, mais c’ n’est pas l’amitié
Le jeu d’ l’amour qu’on perd toujours
Lorsque les heures se comptent en jours
Elle a tellement compté
La rupture a duré longtemps
À la folie, passionnément
Et puis ce brusquement plus rien
Ce cri silencieux de la fin
La rupture a duré longtemps
À la folie, passionnément
On arrive au bout de la fin
Une porte se ferme, on est barré
Elle n’est plus jamais invitée
On a fini par l’oublier
Elle se souvient qu’il y a des lunes
Ses soirées valaient des fortunes
On jouait pour la faire danser
La seule chanson qu’elle a aimée
Elle disait quoi? J’ m’en souviens plus
Les chanteurs, on n’ les connaît plus
Elle vit toute seule, comme elles sont des milliers
Elle s’est bien défendue, puis elle s’est résignée
Elle vit toute seule, comme elles sont des milliers
On s’habitue à tout comme dans l’obscurité {x2}
Une photo d’elle et son mari
Prise en vacances, il y a des lunes
En ce temps-là elle était brune
Elle a du mal à se rappeler
Le nom d’ leur chanson préférée
Elle disait quoi? Elle ne sait plus
Les chanteurs, elle les connaît plus
Elle vit toute seule, comme elles sont des milliers
Un jour la Terre est vide, le monde inhabité
Elle passe en boucle les occasions manquées
Le goût d’ l’amour, le prix d’ l’amour
Lorsque dix ans passent en dix jours
Elle a tellement donné
La rupture a duré longtemps
À la folie, passionnément
Et puis ce brusquement plus rien
Ce cri silencieux de la fin
La rupture a duré longtemps
À la folie, passionnément
On arrive au bout de la fin
Quand le plaisir s’en est allé
Elle vit toute seule, comme elles sont des milliers
Un jour on n’a personne, personne à qui parler
Les amis sont ailleurs, mais c’ n’est pas l’amitié
Le jeu d’ l’amour qu’on perd toujours
Lorsque les heures se comptent en jours
Elle a tellement compté
La rupture a duré longtemps
À la folie, passionnément
Et puis ce brusquement plus rien
Ce cri silencieux de la fin
La rupture a duré longtemps
À la folie, passionnément
On arrive au bout de la fin
Une porte se ferme, on est barré
Elle n’est plus jamais invitée
On a fini par l’oublier
Elle se souvient qu’il y a des lunes
Ses soirées valaient des fortunes
On jouait pour la faire danser
La seule chanson qu’elle a aimée
Elle disait quoi? J’ m’en souviens plus
Les chanteurs, on n’ les connaît plus
Elle vit toute seule, comme elles sont des milliers
Elle s’est bien défendue, puis elle s’est résignée
Elle vit toute seule, comme elles sont des milliers
On s’habitue à tout comme dans l’obscurité {x2}