Les paroles de la chanson
« Elle viendra quand même »
Orelsan
La mort s’en bat les couilles de ta vie
Si t’as pas fait ton sac elle viendra te chercher quand même
Jvoudrais croire aux miracles, aux tours de magie
Mais c’est qu’un peu de trucage et beaucoup de mise en scène.
La mort s’en bat les couilles de ta vie.
La mort s’en bat les couilles de ta vie.
Souvent la froideur de la vérité vient m’embrasser
Rien n’a de sens on ne peut que regarder le temps passer
Y a pas longtemps j’imaginais même pas vraiment clamser
Mais pus le sablier s’écoule moins ça m’semble abstrait
Angoissé, en plein nuit le sang glacé
Le plus dur c’est pas le cauchemar c’est l’instant d’après, c’est l’instant de clarté,
Où jsuis persuadé qu’il y a plus rien qu’un grand vide quand elle vient t’embarquer
Les gens à fond dans le train-train quotidien
Leur fin. Comment ça sfait qu’ils l’acceptent aussi bien?
Tout parait absurde, presque ironique
Vivent d’une manière carrée comme si mourir était la suite logique
Elle me hante à en devenir gothique
Jlis des chroniques scientifiques, voir l’avancée des corps bioniques
Le Big Bang, l’évolution, les hommes préhistoriques
Face au mystique, l’ésotérique, les délires cosmiques
Choisis ta voie, entre Kurt Cobain ou Bouddha, deux façons d’atteindre le nirvana
Chaque fois que jregarde les étoiles, jpense T’emballes pas,
C’est que du gaz, autant faire un feu devant ton écran plasma.
Et j’y pense la plupart du temps,
Peut-être parce que jfume depuis 15 ans
Peut-être parce que jcrache du sang
Impuissant. Si Dieu n’existe pas, jbrasse du vent
Si Dieu existe, jtrouve pas ça vraiment plus rassurant
C’est marqué noir sur blanc, au grand tournoi du paradis on ira sûrement même pas sur le banc
J’ai du mal à croire la Bible même si j’aime ses enseignements
La mort c’est la finale, le sommeil c’est l’entrainement
J’ai peur de la faucheuse, du roi des ombres
Peur de la trotteuse, de la vitesse à laquelle passent les secondes
Avant de partir on me demandera des comptes
Jprépare la réponse
Jrépare mes tuiles avant que le toit ne s’effondre
Plus j’approche du bonheur, plus j’ai peur qu’elle vienne
Comme si j’avais peur d’être aveugle après que le soleil s’éteigne
Est-ce-que mes croyances et mes pensées sont les miennes
Ou jreste influencé par deux mille ans d’éducation chrétienne
Trop d’ego pour croire que la Terre tourne sans ma présence
Mais jme rappelle que jme rappelle pas d’avant la naissance
Jcrois au sixième sens, aux visions sous psychotropes
Jcrois que ton cerveau déraille quand tu stresses ou que t’as pris trop de drogues
Jcrois qu’en la vérité des microscopes
Celle qui dit que tout est fini quand y a plus de montagne sur l’oscilloscope
J’aimerais avoir l’espoir de croire au surnaturel
Avoir le confort de m’en remettre à la grâce du Ciel
Mon grand-père a l’humidité sur chaque prunelle parce qu’il connait la cruauté de faire partie de la race humaine
Y aura pas de tunnel, pas de lumière, pas d’rivière, pas d’ange après qu’elle t’emmène
Et pourtant elle viendra quand même.
Si t’as pas fait ton sac elle viendra te chercher quand même
Jvoudrais croire aux miracles, aux tours de magie
Mais c’est qu’un peu de trucage et beaucoup de mise en scène.
La mort s’en bat les couilles de ta vie.
La mort s’en bat les couilles de ta vie.
Souvent la froideur de la vérité vient m’embrasser
Rien n’a de sens on ne peut que regarder le temps passer
Y a pas longtemps j’imaginais même pas vraiment clamser
Mais pus le sablier s’écoule moins ça m’semble abstrait
Angoissé, en plein nuit le sang glacé
Le plus dur c’est pas le cauchemar c’est l’instant d’après, c’est l’instant de clarté,
Où jsuis persuadé qu’il y a plus rien qu’un grand vide quand elle vient t’embarquer
Les gens à fond dans le train-train quotidien
Leur fin. Comment ça sfait qu’ils l’acceptent aussi bien?
Tout parait absurde, presque ironique
Vivent d’une manière carrée comme si mourir était la suite logique
Elle me hante à en devenir gothique
Jlis des chroniques scientifiques, voir l’avancée des corps bioniques
Le Big Bang, l’évolution, les hommes préhistoriques
Face au mystique, l’ésotérique, les délires cosmiques
Choisis ta voie, entre Kurt Cobain ou Bouddha, deux façons d’atteindre le nirvana
Chaque fois que jregarde les étoiles, jpense T’emballes pas,
C’est que du gaz, autant faire un feu devant ton écran plasma.
Et j’y pense la plupart du temps,
Peut-être parce que jfume depuis 15 ans
Peut-être parce que jcrache du sang
Impuissant. Si Dieu n’existe pas, jbrasse du vent
Si Dieu existe, jtrouve pas ça vraiment plus rassurant
C’est marqué noir sur blanc, au grand tournoi du paradis on ira sûrement même pas sur le banc
J’ai du mal à croire la Bible même si j’aime ses enseignements
La mort c’est la finale, le sommeil c’est l’entrainement
J’ai peur de la faucheuse, du roi des ombres
Peur de la trotteuse, de la vitesse à laquelle passent les secondes
Avant de partir on me demandera des comptes
Jprépare la réponse
Jrépare mes tuiles avant que le toit ne s’effondre
Plus j’approche du bonheur, plus j’ai peur qu’elle vienne
Comme si j’avais peur d’être aveugle après que le soleil s’éteigne
Est-ce-que mes croyances et mes pensées sont les miennes
Ou jreste influencé par deux mille ans d’éducation chrétienne
Trop d’ego pour croire que la Terre tourne sans ma présence
Mais jme rappelle que jme rappelle pas d’avant la naissance
Jcrois au sixième sens, aux visions sous psychotropes
Jcrois que ton cerveau déraille quand tu stresses ou que t’as pris trop de drogues
Jcrois qu’en la vérité des microscopes
Celle qui dit que tout est fini quand y a plus de montagne sur l’oscilloscope
J’aimerais avoir l’espoir de croire au surnaturel
Avoir le confort de m’en remettre à la grâce du Ciel
Mon grand-père a l’humidité sur chaque prunelle parce qu’il connait la cruauté de faire partie de la race humaine
Y aura pas de tunnel, pas de lumière, pas d’rivière, pas d’ange après qu’elle t’emmène
Et pourtant elle viendra quand même.