Les paroles de la chanson
« Elle était… oh »
Joe Dassin
Dans la cohue de la salle des pas perdus
Elle courait après son train du soir
Je l’attendais depuis déjà tant d’années
Le temps d’y croire elle m’avait échappé
Elle était oh, oh, oh, oh
Et moi j’était comme un fou
Elle était oh, oh, oh, oh
A se mettre à genoux
Des cheveux blonds
Y’en avait plein les wagons
Mais ce n’était pas ce que je cherchais
Six heures trente-six
En direction de Senlis
Et chaque tour de roue me répétait
Qu’elle était oh, oh, oh, oh
Et moi j’était comme un fou
Elle était oh, oh, oh, oh
A se mettre à genoux
Dans ce train qui se traîne
Dans les forêts d’HLM
Sous un ciel de fumée
Elle se cache (...)
Dans un coin de fenêtre
Mais comment la trouver
Elle était oh, oh, oh, oh
Et moi j’était comme un fou
Elle était oh, oh, oh, oh
A se mettre à genoux
Dans mon train qui s’envole
Je vois des gondoles
Des pigeons des palais
En gare de Venise
Elle me donne sa valise
C’est comme si j’y étais
Mais je n’y suis pas
J’ai la banlieue devant moi
Et une fille qui saute sur le quai
En gare de Sorcelles
Le temps de voir que c’est elle
Mon train repart et elle disparaît
Elle était oh, oh, oh, oh
Et moi j’était comme un fou
Elle était oh, oh, oh, oh
A se mettre à genoux
A se mettre à genoux
Elle courait après son train du soir
Je l’attendais depuis déjà tant d’années
Le temps d’y croire elle m’avait échappé
Elle était oh, oh, oh, oh
Et moi j’était comme un fou
Elle était oh, oh, oh, oh
A se mettre à genoux
Des cheveux blonds
Y’en avait plein les wagons
Mais ce n’était pas ce que je cherchais
Six heures trente-six
En direction de Senlis
Et chaque tour de roue me répétait
Qu’elle était oh, oh, oh, oh
Et moi j’était comme un fou
Elle était oh, oh, oh, oh
A se mettre à genoux
Dans ce train qui se traîne
Dans les forêts d’HLM
Sous un ciel de fumée
Elle se cache (...)
Dans un coin de fenêtre
Mais comment la trouver
Elle était oh, oh, oh, oh
Et moi j’était comme un fou
Elle était oh, oh, oh, oh
A se mettre à genoux
Dans mon train qui s’envole
Je vois des gondoles
Des pigeons des palais
En gare de Venise
Elle me donne sa valise
C’est comme si j’y étais
Mais je n’y suis pas
J’ai la banlieue devant moi
Et une fille qui saute sur le quai
En gare de Sorcelles
Le temps de voir que c’est elle
Mon train repart et elle disparaît
Elle était oh, oh, oh, oh
Et moi j’était comme un fou
Elle était oh, oh, oh, oh
A se mettre à genoux
A se mettre à genoux