Les paroles de la chanson
« Eh ! mama ! »
Henri Salvador
Elle habite une petite cabane
Bien cachée sous les grands palmiers
Ses deux filles cueillent des bananes
Pendant qu’elle cuit le dîner
Elle est si bonne cuisinière
Que les gars viennent de très loin
Et regardent dans sa soupière
En chantant ce refrain :
"Eh! Mama! Comme ça sent bon chez toi
Eh! Mama! Qu’est-ce que tu fais cuire par là?
Qui t’a vendu ton tour de taille
Il ne t’a pas volé
Vive la bonne boustifaille
Que Mama m’a donnée"
Elle a des amis innombrables
Et les gars veulent des plats exquis
Ils roulent très souvent sous la table
Et se retrouvent dans son lit
Mais honni soit qui mal y pense
Car Mama fait ça uniquement
Pour pouvoir leur garnir la panse
De chocolat fumant
Eh! Mama! Comme ça sent bon chez toi
Eh! Mama! Qu’est-ce que tu fais chauffer là?
Ton corsage a un tel volume
Qu’on en est étonné
Mais on dort comme dans la plume
Le nez dans tes nénés!
Quelquefois, nous sommes trois ou quatre
A venir dîner chez Mama
Et il faut la voir se débattre
Pour contenter ce monde-là
Ses deux filles arrivent à l’aide
Et s’asseyent sur vos genoux
Ça fait un petit intermède
Et chacun rit beaucoup
Eh! Mama! Comme ça sent bon chez toi
Eh! Mama! Laisse donc un moment tes plats
Mes genoux sont les plus solides
Viens donc sans te gêner
Et vidons ce cruchon limpide
Viens, Mama, viens m’aimer!
Viens, Mama, viens m’aimer!
Bien cachée sous les grands palmiers
Ses deux filles cueillent des bananes
Pendant qu’elle cuit le dîner
Elle est si bonne cuisinière
Que les gars viennent de très loin
Et regardent dans sa soupière
En chantant ce refrain :
"Eh! Mama! Comme ça sent bon chez toi
Eh! Mama! Qu’est-ce que tu fais cuire par là?
Qui t’a vendu ton tour de taille
Il ne t’a pas volé
Vive la bonne boustifaille
Que Mama m’a donnée"
Elle a des amis innombrables
Et les gars veulent des plats exquis
Ils roulent très souvent sous la table
Et se retrouvent dans son lit
Mais honni soit qui mal y pense
Car Mama fait ça uniquement
Pour pouvoir leur garnir la panse
De chocolat fumant
Eh! Mama! Comme ça sent bon chez toi
Eh! Mama! Qu’est-ce que tu fais chauffer là?
Ton corsage a un tel volume
Qu’on en est étonné
Mais on dort comme dans la plume
Le nez dans tes nénés!
Quelquefois, nous sommes trois ou quatre
A venir dîner chez Mama
Et il faut la voir se débattre
Pour contenter ce monde-là
Ses deux filles arrivent à l’aide
Et s’asseyent sur vos genoux
Ça fait un petit intermède
Et chacun rit beaucoup
Eh! Mama! Comme ça sent bon chez toi
Eh! Mama! Laisse donc un moment tes plats
Mes genoux sont les plus solides
Viens donc sans te gêner
Et vidons ce cruchon limpide
Viens, Mama, viens m’aimer!
Viens, Mama, viens m’aimer!